Pages
▼
lundi 19 avril 2010
Eric Zemmour dans "Ca se dispute" sur I-Télé le 17 Avril 2010
Au Sommaire :
- Xynthia : vous avez dit malentendu ?
- La douloureuse des retraites
- 2012 : tous en piste !
- Ça clapote, ça clapote...
.
3 commentaires:
Vous êtes juridiquement responsable du contenu de votre commentaire.
Nous apprécions tous les commentaires et toutes les opinions. Toutefois, le langage "SMS" n'a pas sa place ici. Nous vous remercions de rédiger votre message de façon à ce qu'il soit lisible, argumenté et compréhensible pour tout le monde.
Nous vous demandons également de rester dans le sujet de l'article concerné.
Les attaques personnelles, la diffamation, les propos racistes, le spam, les liens vers d'autres sites ainsi que tout ce qui peut être répréhensible au regard de la législation Française n'ont pas leur place ici. Les commentaires peuvent donc être soumis à validation ou supprimés sans préavis.
Xinthia...Impossible de ne pas penser aux compagnies aeriennes qui appellent l'etat au secours après les recents problèmes volcaniques...
RépondreSupprimerCes compagnies sont-elles au moins francaises ?
("Amusant" de les entendres se plaindre des reglementations "excessives"...)
Dans l'émission "ça se dispute", j'ai vu un Zemmour que j'aime moins : marxiste,stalinien et dictatorial... En effet, Zemmour semble aimer un état qui pose et s'impose : pas de dialogue ou compromis possible... Dans le cas qui nous concerne ,ni la sécurité de l'état, ni la sécurité d'autres Français est en jeu. Dans ce cas, on doit laisser aux personnes (propriétaires) saines d'esprit, adultes et responsables le libre choix à condition qu'ils soient prêts à assumer les conséquences du risque qu'elles veulent encourir... Il ne faut pas infantiliser les Français...et encore moins les utiliser pour restaurer une autorité perdue...
RépondreSupprimerLa question est peut etre plutot le fait que l'etat n'est plus qu'un garant de "droits" sans aucun devoirs associé...
RépondreSupprimerQuelque part, un peu l'aboutissement du principe de "c'est à tout le monde donc à personne", et on veut en profiter sans le respecter ou assumer les consequences...