À l'exception de Chevènement, la gauche a beaucoup contribué à la débâcle de l'école (réforme Jospin, il y a 20 ans). Avec des idéologues comme Meirieu.
Quant à Sarkozy, il ne croyait pas lui-même à ses propos de campagne (justes). C'est probablement un des sujets où il a été le plus décevant.
D'ailleurs, s'il avait vraiment voulu revenir à l'école traditionnelle, il aurait eu besoin de soutiens. Ce qui, politiquement, est contradictoire avec les suppressions de postes.
On dit que les libéraux seraient de droite et les libertaires de gauche. En réalité, ils sont mêlés : la politique scolaire de Chatel est libérale-libertaire.
Au PS : la preuve par les soutiens de Martine Aubry. Le sociologue Michel Wieviorka est un libertaire. Un des idéologues pédagogistes à la Meirieu. L'économiste Daniel Cohen est un néo-libéral, plus à droite sur l'économie qu'Henri Guaino.
Voilà : en avril-mai, il faudra choisir entre lib-lib et lib-lib. On appelle ça "la démocratie".
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À l'exception de Chevènement, la gauche a beaucoup contribué à la débâcle de l'école (réforme Jospin, il y a 20 ans). Avec des idéologues comme Meirieu.
RépondreSupprimerQuant à Sarkozy, il ne croyait pas lui-même à ses propos de campagne (justes). C'est probablement un des sujets où il a été le plus décevant.
D'ailleurs, s'il avait vraiment voulu revenir à l'école traditionnelle, il aurait eu besoin de soutiens. Ce qui, politiquement, est contradictoire avec les suppressions de postes.
On dit que les libéraux seraient de droite et les libertaires de gauche.
RépondreSupprimerEn réalité, ils sont mêlés : la politique scolaire de Chatel est libérale-libertaire.
Au PS : la preuve par les soutiens de Martine Aubry.
Le sociologue Michel Wieviorka est un libertaire. Un des idéologues pédagogistes à la Meirieu.
L'économiste Daniel Cohen est un néo-libéral, plus à droite sur l'économie qu'Henri Guaino.
Voilà : en avril-mai, il faudra choisir entre lib-lib et lib-lib. On appelle ça "la démocratie".
C'est assez juste si ce n'est que "liberal" en France, c'est très relatif.
RépondreSupprimerSocietalement oui, economiquement c'est plus mitigé.
Quoique par rapport à l'ecole, detruire l'ecole publique, c'est peut etre une manière de "relancer le privé"...
Tout est synthétisé en 3 minutes.
RépondreSupprimerPas mal du tout. La rentrée est bonne pour EZ.