Affaire Leonarda : les chiens de l'émotion sont lâchés.
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samedi 19 octobre 2013
8 commentaires:
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Bonne chronique, merci.
RépondreSupprimerOn aura beau tourner les choses dans tous les sens qu'on voudra, l'Autre et sa précieuse altérité, pour qu'il soit reçu dans nos cœurs, encore conviendrait-il qu'il y mette un peu du sien.
RépondreSupprimerBeaucoup victimes de conditions politiques, économiques et religieuses particulièrement insupportables dans leur pays d'origine voudraient qu'on les reçoive, sans conditions particulières. et souvent n'ont à l'esprit que reproduire les schémas qui ont fait d'eux, là-bas, des martyrs.
Et nous, pauvres de nous, pris au piège de nos valeurs démocratiques, nous serions sommés d'accepter l'impétrant dans sa plus étrange particularité.
Certains disent que nos prisons sont remplis, à plus savoir où les mettre, des ces étrangers, majoritairement musulmans.
L'islam, c'est effectivement, l'inquiétude récurrente qui s'agite devant nous, parce qu'elle se manifeste quotidiennement, à vrai dire partout dans le monde où cette religion plonge ses racines. Qu'on m'oppose une autre réalité, je m'y soumettrai.
Comment ne pas entendre ce bruit de botte qui frappe le pavé de nos consciences ! Comment ne pas s'indigner de ce laxisme qui nous conduit droit dans le mur, droit à des déchirements intérieurs sans pareils ?
SupprimerNous sommes convié à accepter l'inacceptable qui 'est ici notre propre éradication culturelle. C'est sans danger disent quelques uns qui n'ont aucune idée des bruits de couloir où circulent des préludes de fatwas à leur premier encontre.
Il est un seuil pour le lait de déborder !
Cela pourtant me semble ressortir du fait de nature.
E.Zemmour ne dit que la vérité, et les gauchistes, dont Domenach ne veulent pas le dire, même s'ils le voient. (En 10 ans, la société civile a totalement changé: il n'y a qu'à se promener, quand on le peut sans crainte, dans les centres des villes et les banlieues).
SupprimerCes aveugles sont de moins en moins nombreux, mais vont arriver qand même à mener la France et l'europe à leurs pertes.
Quel malheur pour nos enfants et nos petits enfants.
Jusqu'à quand nos pensées profondes, profilées sous des paroles policées et mesurées demeureront-elles contenues ? Il semble que beaucoup les voudraient entendre pour ce qu'elles sont l'expression d'une opinion populaire en forte croissance.
SupprimerParti de ce train d'enfer, nous avançons patiemment vers cette issue.
Il y a d'évidence une exaspération qui ne dit pas son nom qui ne va pas au bout d'elle-même.
RépondreSupprimerNous restons poli. Nous abordons le sujet "dynamite" de l'immigration avec de multiples efforts pour ne pas blesser la chair qui l'entoure.
Bien que l'envie d'y céder se fait de plus en plus pressente. Un fond cartésien? bien encré? nous fait aimer encore les pendules exactes.
Parce qu'en cette circonstance il est dangereux de racler le fond de son "qu'en-à-soit" et le livrer à autrui dans la compréhension de sa vérité . On retient, on suspend le désir de rompre la digue pour dire enfin ce qui nous brûle de plus en plus les lèvres. Y-en a marre !!
Mais, la France, beaucoup, qui de plus est, ne l'aiment pas. C'est souvent une attitude de dominant à dominé. Le client qui donne ces instructions. Chez ceux qui ne trouvent rien à y redire, je vois deux possibilités. Un, ils culpabilisent un sentiment de supériorité inavouable. Deux, ils se gobergent d'idées progressistes à sens unique.
RépondreSupprimerPrennent-il le métro quelque fois ? Vivent-ils où vivent ceux qui se disent exaspérés ?? Ont-ils idées des odeurs nauséeuses de ces escaliers insalubres, hantés par des squattes d'adolescents désœuvrés, l'injure permanente à la bouche, comme un poignard ? Des ordures que l'on jette par les fenêtres, des crachats, et vomissures des ascenseurs. ? Des menaces en tous genres à peine voilées ? Moi; si.
Je suis personnellement devenu "effrayé de l'islam" en m'en instruisant. C'est à la lecture de ces ouvrages souvent de grandes violences (en ventes libres) qui fondent le socle du religieux islamique, que je me suis mis à prendre conscience du danger.
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