Las!las! Les politiques français de tout bord vous écoutent, mais las!las! ils ne vous entendent pas. Il est à craindre que la cupidité de ces malentendants les rende totalement insensibles à votre clairvoyance et qu'ainsi ils nous entrainent inexorablement vers un nouveau chaos de notre société.
Cher Eric, Ne pensez-vous pas que le moment est venu pour vous qui avez de vraies valeurs (expression galvaudée), une haute idée de notre pays, pour créer un nouveau parti politique? non, je ne plaisante pas! je crois que nous serions une majorité à vous suivre!
Il est assez amusant de constater qu'une fois de plus (mais faut-il s'en étonner ?) les prétendus analystes de la politique italienne se sont trompés, ou presque pire peut-être, ont essayé de nous tromper. Comme si le Peuple français avait, d'ailleurs, son mot à dire dans les élections italiennes. Mais passons sur cette agitation schizophrénique.
Il en ressort en tout cas que loin du raz-de-marée de gauche qui allait "balayer Berlusconi et ses alliés" attendu qu'on ne cesse de nous rabâcher que les Italiens en ont leur claque de ceux qui les gouvernent actuellement (pourtant élus et réélus par ce peuple fier que l'on tente sans cesse de faire parler malgré lui lors d'exercices de ventriloquie imposteurs) nous assistons une fois encore à la victoire de la droite italienne, plus forte que jamais.
Et une fois encore, nos commentateurs qui se sont essayés aux pronostics incantatoires et à la manipulation de l'information héxagonale, en ressortent marrons et piteux. Piteux certes, mais toujours bien à leur poste, prêts à reprendre, encore et encore leur petit numéro de propagande.
Là, pour le coup, ils y tiennent mordicus à leur chère liberté de la parole, ceux qui hier encore beuglaient contre E. Zemmour. Et je me demande au fond ce qui leur fait le plus mal au nez, à ces tristes sires de la (dés)information: d'avoir si souvent tort, ou qu'E. Zemmour ait si souvent raison ?
Allez, pourquoi pas un peu des deux, ne boudons pas notre plaisir.
Irathel, Vous mettez à nouveau en exergue nos chers médias! que n'aurions nous pas entendu de la part de nos experts si Berlusconi avait perdu! Mais maintenant...silence radio!
Lu dans Daoudal Hebdo N°75, une excellente lettre hebdomadaire qui mérite d'être connue ! Voir ici : http://www.daoudal-hebdo.info/Daoudal_Hebdo/Bienvenue.html Citation ---------------- Une partie de la mouvance nationale s’est mobilisée pour sauver le soldat Zemmour, qui risquait, à ce que l’on disait, de se faire virer du Figaro, voire de certaines antennes où il officie, pour avoir énoncé une évidence politiquement incorrecte. La "Zemmourmania", peu à peu devenue extravagante sur certains blogs où l’on en est arrivé à nous donner notre Zemmour quotidien, écrit, audio, vidéo, a ainsi atteint un paroxysme, au point qu’une manifestation de soutien a été organisée. Je n’ai jamais compris pourquoi il fallait aduler quelqu’un qui ne dit rien d’autre que ce que nous disons depuis toujours. Certes, il le dit avec talent, et l’on peut être agréablement titillé par le fait d’entendre proféré dans des grands médias ce qui nous tient à cœur et qui est habituellement interdit d’antenne. Le rôle d’ Eric Zemmour Mais on oublie de se demander pourquoi Eric Zemmour peut ainsi parler. Or il devrait être évident pour tous que celui qui s’exprime ainsi dans le système fait partie de ce système. Eric Zemmour est une soupape de sûreté, un dérivatif. Il est celui qui permet aux dirigeants du système de prétendre qu’on peut tout dire (même si parfois il faut froncer les sourcils). Il est la preuve vivante que « les idées du Front national » (pour employer une expression commode) ont droit de cité, contrairement à ce qu’affirment les tenants de ces idées. Il y a dix ans, alors qu’il était beaucoup moins connu qu’aujourd’hui (parce qu’il n’était pas à la télévision), Eric Zemmour remplissait déjà ce rôle au Figaro. Alors que le journal était devenu un porte-parole de la pensée unique, Eric Zemmour détonnait, et il permettait à de nombreux lecteurs de droite de se reconnaître quand même dans ce journal et de continuer à l’acheter. Ceci n’est en aucune manière une remise en cause de ses convictions et de son honnêteté intellectuelle (et j’ai salué, dans Le tour infernal, le fait qu’il fût le seul journaliste de la grosse presse à ne pas participer à l’hallali contre Jean-Marie Le Pen en 2002). C’est précisément parce qu’il a des convictions qu’il remplit son rôle à la perfection. Ainsi, ceux qui encensent Zemmour en permanence et en font leur champion sont des idiots utiles du système. Ils sont comme ces citoyens de démocraties populaires qui croyaient que les partis d’opposition étaient des partis d’opposition, alors qu’ils faisaient partie intégrante du système communiste. Et dans les pays sans partis d’opposition, il y avait des dissidents officiels… Un certain Philippe Bilger Et voilà que le magistrat Philippe Bilger a pris la défense d’Eric Zemmour, et a été convoqué par le procureur général de Paris (ce qui est bien sûr resté sans suite). Alors il fallait aussi défendre Phlippe Bilger, qui vient à son tour à la télévision défendre la « liberté d’expression » et marteler qu’il en a « marre du politiquement correct ». Là, on frise le syndrome de Stockholm. Philippe Bilger se permet aujourd’hui quelques coquetteries parce qu’il est « avocat général hors hiérarchie », intouchable. Mais le même Philippe Bilger avait une tout autre conception de la liberté d’expression quand il était procureur à la 17e chambre correctionnelle de Paris. Il n’hésitait pas à requérir de lourdes peines à l’encontre de ceux qui disaient… ce que dit Zemmour aujourd’hui. Par exemple Présent. Et faire condamner un journal comme Présent à de lourdes amendes à répétition, cela peut être une condamnation à mort. La Lucia de Portier de nuit, ce n’est pas mon genre. ------------ Fin de citation.
A tbouboui: je remarque aussi que quand S. Berlusconi (pour lequel je n'ai pas de sympathie particulière) s'est fait sauvagement blesser au visage, il s'est révélé de bon ton en France de trouver cela d'un truculent digne de la Commedia dell'arte; voire carrément "bien fait pour sa gueule". Qu'aurait-on entendu si cela avait été un homme d'Etat de gauche qui s'été fait défoncer la face par un secoué du bocal de droite ? On nous aurait sans aucun doute rejoué immédiatement la farce éculée du défilé républicain, main sur le coeur et bouche pincée, tous unis contre le fascisme et la démocratophobie. On voit d'ailleurs d'ici le tableau: cortèges aux banderoles de toutes les couleurs (roses, vertes, rouges notamment) où l'élu de gauche promène à la main son petit caniche de droite qui souhaite profiter de l'occasion pour se désolidariser le plus possible de la "droite nauséabonde". La presse aurait passé quant à elle 15 jours à titrer sur tout ce qui pourrait donner le sentiment d'une résurgence brune, et bien entendu le voyou aurait vu son pédigrée détaillé dans tous les médias au moins depuis sa première communion, sa photo étalee partout, et surtout pas la moindre excuse, même pas le sempiternel alibi psychologique que l'on nous ressert chaque fois qu'un malfrat "à protection intégrée" se fait épingler par la police.
Mais c'est en France, patrie européenne du blabla balisé que tout cela se produit le plus aisément, en Italie au moins si on n'est pas forcément plus malin du moins se souvient-on de deux élements-phares surtout en ces temps troubles: premièrement, mettre à la tête du pays un gouvernement de gauche en pleine crise économique, c'est pire que se tirer une balle dans la tête. Dans ce dernier cas au moins, il arrive parfois qu'on se rate.
Deuxièmement, les Italiens n'ont guère envie de recommencer de sitôt l'expérience socialiste (qui s'est tout de même conclue sur un maëlstrom de corruption) de fraîche mémoire, ni de renouer avec les années de plomb de mémoire plus ancienne, mais au moins aussi cuisante.
Car comme on le dit en italien: Gatta scottata, ha paura dell'acqua fresca. (Chat échaudé craint l'eau froide)
Je m'etonne qu'on n'ai pas fait remarqué que la manifestation de soutient à Zemmour n'ait rameuté que 150 personnes. C'est peu a coté d'autres rassemblements. (Par contre en terme de courrier/ courriels, apparement, c'etait impressionnant...)
Tout simplement peut etre que la culture de manifestation, d'indignation de surface, c'est plutot à gauche que c'est repandu. Et il y a de l'abus, certainement. (C'est un objet de moquerie dans le monde entiers, avec les grèves...)
La posture, toujours la posture...
Neanmoins les réactions de soutient a Zemmour ont certainement eu un peu de resultat...
@Jean Leclerc: Le problème est la disqualification automatique d'idées qui ne sont pas la propriété de Le Pen par la gauche depuis Mitterrand.
Nous (noirs et arabes) aurions du laisser faire, on n'en serait pas là. Le monde démocratique nous entrainé dans un combat contre un soit-disant ennemi sans informations suffisantes, c'est dommage, mais ce n'est que partie remise car des velleités en sommeil vont se réveiller probablement sous peu et là ce sera pire que le précédent.
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Las!las! Les politiques français de tout bord vous écoutent, mais las!las! ils ne vous entendent pas. Il est à craindre que la cupidité de ces malentendants les rende totalement insensibles à votre clairvoyance et qu'ainsi ils nous entrainent inexorablement vers un nouveau chaos de notre société.
RépondreSupprimerCher Eric,
RépondreSupprimerNe pensez-vous pas que le moment est venu pour vous qui avez de vraies valeurs (expression galvaudée), une haute idée de notre pays, pour créer un nouveau parti politique? non, je ne plaisante pas! je crois que nous serions une majorité à vous suivre!
Il est assez amusant de constater qu'une fois de plus (mais faut-il s'en étonner ?) les prétendus analystes de la politique italienne se sont trompés, ou presque pire peut-être, ont essayé de nous tromper. Comme si le Peuple français avait, d'ailleurs, son mot à dire dans les élections italiennes. Mais passons sur cette agitation schizophrénique.
RépondreSupprimerIl en ressort en tout cas que loin du raz-de-marée de gauche qui allait "balayer Berlusconi et ses alliés" attendu qu'on ne cesse de nous rabâcher que les Italiens en ont leur claque de ceux qui les gouvernent actuellement (pourtant élus et réélus par ce peuple fier que l'on tente sans cesse de faire parler malgré lui lors d'exercices de ventriloquie imposteurs) nous assistons une fois encore à la victoire de la droite italienne, plus forte que jamais.
Et une fois encore, nos commentateurs qui se sont essayés aux pronostics incantatoires et à la manipulation de l'information héxagonale, en ressortent marrons et piteux. Piteux certes, mais toujours bien à leur poste, prêts à reprendre, encore et encore leur petit numéro de propagande.
Là, pour le coup, ils y tiennent mordicus à leur chère liberté de la parole, ceux qui hier encore beuglaient contre E. Zemmour. Et je me demande au fond ce qui leur fait le plus mal au nez, à ces tristes sires de la (dés)information: d'avoir si souvent tort, ou qu'E. Zemmour ait si souvent raison ?
Allez, pourquoi pas un peu des deux, ne boudons pas notre plaisir.
tbouboui, je pense que ce serait la pire erreur que Zemmour pourrait faire...
RépondreSupprimerIrathel, Vous mettez à nouveau en exergue nos chers médias! que n'aurions nous pas entendu de la part de nos experts si Berlusconi avait perdu! Mais maintenant...silence radio!
RépondreSupprimerLa droite française a les reins trop fragile. Une légère pression médiatique suffit à l'assouplir, à lui faire courber l'échine.
RépondreSupprimerAussi, un accord entre l'ump et le front national n'est pas pour demain.
Lu dans Daoudal Hebdo N°75, une excellente lettre hebdomadaire qui mérite d'être connue ! Voir ici : http://www.daoudal-hebdo.info/Daoudal_Hebdo/Bienvenue.html
RépondreSupprimerCitation ----------------
Une partie de la mouvance nationale s’est mobilisée pour sauver le soldat Zemmour, qui risquait, à ce que l’on disait, de se faire virer du Figaro, voire de certaines antennes où il officie, pour avoir énoncé une évidence politiquement incorrecte. La "Zemmourmania", peu à peu devenue extravagante sur certains blogs où l’on en est arrivé à nous donner notre Zemmour quotidien, écrit, audio, vidéo, a ainsi atteint un paroxysme, au point qu’une manifestation de soutien a été organisée. Je n’ai jamais compris pourquoi il fallait aduler quelqu’un qui ne dit rien d’autre que ce que nous disons depuis toujours. Certes, il le dit avec talent, et l’on peut être agréablement titillé par le fait d’entendre proféré dans des grands médias ce qui nous tient à cœur et qui est habituellement interdit d’antenne. Le rôle d’ Eric Zemmour Mais on oublie de se demander pourquoi Eric Zemmour peut ainsi parler. Or il devrait être évident pour tous que celui qui s’exprime ainsi dans le système fait partie de ce système. Eric Zemmour est une soupape de sûreté, un dérivatif. Il est celui qui permet aux dirigeants du système de prétendre qu’on peut tout dire (même si parfois il faut froncer les sourcils). Il est la preuve vivante que « les idées du Front national » (pour employer une expression commode) ont droit de cité, contrairement à ce qu’affirment les tenants de ces idées. Il y a dix ans, alors qu’il était beaucoup moins connu qu’aujourd’hui (parce qu’il n’était pas à la télévision), Eric Zemmour remplissait déjà ce rôle au Figaro. Alors que le journal était devenu un porte-parole de la pensée unique, Eric Zemmour détonnait, et il permettait à de nombreux lecteurs de droite de se reconnaître quand même dans ce journal et de continuer à l’acheter. Ceci n’est en aucune manière une remise en cause de ses convictions et de son honnêteté intellectuelle (et j’ai salué, dans Le tour infernal, le fait qu’il fût le seul journaliste de la grosse presse à ne pas participer à l’hallali contre Jean-Marie Le Pen en 2002). C’est précisément parce qu’il a des convictions qu’il remplit son rôle à la perfection. Ainsi, ceux qui encensent Zemmour en permanence et en font leur champion sont des idiots utiles du système. Ils sont comme ces citoyens de démocraties populaires qui croyaient que les partis d’opposition étaient des partis d’opposition, alors qu’ils faisaient partie intégrante du système communiste. Et dans les pays sans partis d’opposition, il y avait des dissidents officiels… Un certain Philippe Bilger Et voilà que le magistrat Philippe Bilger a pris la défense d’Eric Zemmour, et a été convoqué par le procureur général de Paris (ce qui est bien sûr resté sans suite). Alors il fallait aussi défendre Phlippe Bilger, qui vient à son tour à la télévision défendre la « liberté d’expression » et marteler qu’il en a « marre du politiquement correct ». Là, on frise le syndrome de Stockholm. Philippe Bilger se permet aujourd’hui quelques coquetteries parce qu’il est « avocat général hors hiérarchie », intouchable. Mais le même Philippe Bilger avait une tout autre conception de la liberté d’expression quand il était procureur à la 17e chambre correctionnelle de Paris. Il n’hésitait pas à requérir de lourdes peines à l’encontre de ceux qui disaient… ce que dit Zemmour aujourd’hui. Par exemple Présent. Et faire condamner un journal comme Présent à de lourdes amendes à répétition, cela peut être une condamnation à mort. La Lucia de Portier de nuit, ce n’est pas mon genre.
------------ Fin de citation.
A tbouboui: je remarque aussi que quand S. Berlusconi (pour lequel je n'ai pas de sympathie particulière) s'est fait sauvagement blesser au visage, il s'est révélé de bon ton en France de trouver cela d'un truculent digne de la Commedia dell'arte; voire carrément "bien fait pour sa gueule". Qu'aurait-on entendu si cela avait été un homme d'Etat de gauche qui s'été fait défoncer la face par un secoué du bocal de droite ? On nous aurait sans aucun doute rejoué immédiatement la farce éculée du défilé républicain, main sur le coeur et bouche pincée, tous unis contre le fascisme et la démocratophobie. On voit d'ailleurs d'ici le tableau: cortèges aux banderoles de toutes les couleurs (roses, vertes, rouges notamment) où l'élu de gauche promène à la main son petit caniche de droite qui souhaite profiter de l'occasion pour se désolidariser le plus possible de la "droite nauséabonde". La presse aurait passé quant à elle 15 jours à titrer sur tout ce qui pourrait donner le sentiment d'une résurgence brune, et bien entendu le voyou aurait vu son pédigrée détaillé dans tous les médias au moins depuis sa première communion, sa photo étalee partout, et surtout pas la moindre excuse, même pas le sempiternel alibi psychologique que l'on nous ressert chaque fois qu'un malfrat "à protection intégrée" se fait épingler par la police.
RépondreSupprimerMais c'est en France, patrie européenne du blabla balisé que tout cela se produit le plus aisément, en Italie au moins si on n'est pas forcément plus malin du moins se souvient-on de deux élements-phares surtout en ces temps troubles: premièrement, mettre à la tête du pays un gouvernement de gauche en pleine crise économique, c'est pire que se tirer une balle dans la tête. Dans ce dernier cas au moins, il arrive parfois qu'on se rate.
Deuxièmement, les Italiens n'ont guère envie de recommencer de sitôt l'expérience socialiste (qui s'est tout de même conclue sur un maëlstrom de corruption) de fraîche mémoire, ni de renouer avec les années de plomb de mémoire plus ancienne, mais au moins aussi cuisante.
Car comme on le dit en italien: Gatta scottata, ha paura dell'acqua fresca.
(Chat échaudé craint l'eau froide)
Je m'etonne qu'on n'ai pas fait remarqué que la manifestation de soutient à Zemmour n'ait rameuté que 150 personnes.
RépondreSupprimerC'est peu a coté d'autres rassemblements.
(Par contre en terme de courrier/ courriels, apparement, c'etait impressionnant...)
Tout simplement peut etre que la culture de manifestation, d'indignation de surface, c'est plutot à gauche que c'est repandu.
Et il y a de l'abus, certainement.
(C'est un objet de moquerie dans le monde entiers, avec les grèves...)
La posture, toujours la posture...
Neanmoins les réactions de soutient a Zemmour ont certainement eu un peu de resultat...
@Jean Leclerc: Le problème est la disqualification automatique d'idées qui ne sont pas la propriété de Le Pen par la gauche depuis Mitterrand.
C'est peu etre en train de changer...
Nous (noirs et arabes) aurions du laisser faire, on n'en serait pas là.
RépondreSupprimerLe monde démocratique nous entrainé dans un combat contre un soit-disant ennemi sans informations suffisantes, c'est dommage, mais ce n'est que partie remise car des velleités en sommeil vont se réveiller probablement sous peu et là ce sera pire que le précédent.