Bien dit Eric Zemmour. J'espère que Nicolas Sarkozy vous a entendu. Personnellement, je zapperai sa prestation comme je l'avais fait les fois précédentes sachant que les candidats sont toujours sélectionnés (pas n'importe lesquels), les questions sont dictées par l'Elysée et ce sont les mêmes journalistes (Jean-Pierre Pernaud, Claire Chazal, David Pujadas) qui jouent les libres arbitres lorsqu'ils ne l'interviewent pas. Ah Monsieur Zemmour, si seulement ça serait vous qui interviewerait le Président avec vos questions, je suis sûre que l'audience exploserait. En tout cas, merci pour vos interventions sur RTL en toute indépendance.
Du statut de monarque, représentant de droit divin, la stature du chef d'état (républicain) a glissé, après la révolution française, vers une représentation nettement paternelle.
Cependant l'autorité du père, alors indiscutée, touchait encore au sacrée. Ce déboulonnage progressif, du statut du représentant légal de la nation s'est continuellement "dégradé" à mesure que la société "évoluait", que la vision et la position sociale du père elle-même évoluait.
Le coup de grâce révolutionnaire et définitif à cette position au caractère sacré fut donné au lendemain des élections présidentielles par le Président SarkozY.
Envolée la prestigieuse image du monarque, père de la nation.
Dans le toujours plus démocratique, place est faite au grand frère, notre égal. Ce substitue qui faisait perdre, pour le coup, toute légitimité "divine" visiblement n'a pas séduit.
L'idée perçue comme fallacieuse, du si je le peux, n'importe lequel d'entre-vous le peut, n'a pas opéré comme le " Yes we can" américain.
Sans doute que cette mutation, non réclamée, n'avait pas à leur être imposée.
Peu leur chaud que la place centrale du père, sur le plan social, l'ait cédé et dans bien des cas ait été légué à celle du "grand frère".
Cet abandon de pouvoir, de statut social étant perçu, interprété comme une authentique liquéfaction sociale par la majorité des français n'avait pas à être imposé. Ce contre-modèle n'était pas à suivre en tant que modèle.
Effectivement, cette volonté démocratique, du tout démocratique dans sa manifestation, dans sa représentation, a laissé le peuple orphelin, livré à ses angoisses, en proie au doute, au vertige de la vacance, du vide...
On ne remet pas en cause une telle légitimité, quand bien même il se dit que "papa est en voyage d'affaire".
Le père, est le repaire, le centre névralgique de notre création; il porte encore, inscrit dans nos gènes, un caractère divin auquel nous ne sommes pas prêt de renoncer.
"Nôtre Père...que votre volonté soit faites..." Ainsi soit-il !!
Antoine Pasquier (un copain d'enfance) disait: "Je m'égare souvent. Au nom de cette liberté qui m'est cher, je veux bien encore que l'on m'accorde ce droit. Que l'on ne soit pas d'accord avec moi m'importe tout autant si non plus. Que mon contradicteur s'exprime sans limites et me préserve de l'égarement ABSOLU."
On pardonne plus souvent aux autres ce qu'on ne supporte pas à soi-même. Accordons-nous dans ces brèves quelques indulgences ! La lucarne est étroite et le temps nous presse...alors la coquille, vous pensez !! Elle fait partie du voyage !! Inéluctable.
Et bien, il n'y a eu ni brocardage ni questions embarrassantes. C'était du tout cuit. Ils lui ont servi sa soupe électorale. Même la pharmacienne de Nice, pourtant agressée plusieurs fois, a l'air d'en redemander, tant elle insiste sur la ghettoïsation (Elle n'écoute visiblement jamais Zemmour, qui s'esquinte à dire que les immigrés eux-même sont responsables de leur "ghettoïsation") et sur la nécessité de la prévention. Donc, ça va, ils peuvent continuer à venir la voler et la malmener, elle n'a toujours rien compris. Ou alors il faut supposer qu'elle a fait comme tout le monde: elle a tenté d'acheter la paix sociale en envoyant des signaux de paix à ses agresseurs récidivistes: "voyez comme je vous ai compris ! Allez donc attaquer le pharmacien voisin !" pathétique…
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Bien dit Eric Zemmour. J'espère que Nicolas Sarkozy vous a entendu. Personnellement, je zapperai sa prestation comme je l'avais fait les fois précédentes sachant que les candidats sont toujours sélectionnés (pas n'importe lesquels), les questions sont dictées par l'Elysée et ce sont les mêmes journalistes (Jean-Pierre Pernaud, Claire Chazal, David Pujadas) qui jouent les libres arbitres lorsqu'ils ne l'interviewent pas. Ah Monsieur Zemmour, si seulement ça serait vous qui interviewerait le Président avec vos questions, je suis sûre que l'audience exploserait. En tout cas, merci pour vos interventions sur RTL en toute indépendance.
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RépondreSupprimerCependant l'autorité du père, alors indiscutée, touchait encore au sacrée.
Ce déboulonnage progressif, du statut du représentant légal de la nation s'est continuellement "dégradé" à mesure que la société "évoluait", que la vision et la position sociale du père elle-même évoluait.
Le coup de grâce révolutionnaire et définitif à cette position au caractère sacré fut donné au lendemain des élections présidentielles par le Président SarkozY.
Envolée la prestigieuse image du monarque, père de la nation.
Dans le toujours plus démocratique, place est faite au grand frère, notre égal. Ce substitue qui faisait perdre, pour le coup, toute légitimité "divine" visiblement n'a pas séduit.
L'idée perçue comme fallacieuse, du si je le peux, n'importe lequel d'entre-vous le peut, n'a pas opéré comme le " Yes we can" américain.
Sans doute que cette mutation, non réclamée, n'avait pas à leur être imposée.
Peu leur chaud que la place centrale du père, sur le plan social, l'ait cédé et dans bien des cas ait été légué à celle du "grand frère".
Cet abandon de pouvoir, de statut social étant perçu, interprété comme une authentique liquéfaction sociale par la majorité des français n'avait pas à être imposé. Ce contre-modèle n'était pas à suivre en tant que modèle.
Effectivement, cette volonté démocratique, du tout démocratique dans sa manifestation, dans sa représentation, a laissé le peuple orphelin, livré à ses angoisses, en proie au doute, au vertige de la vacance, du vide...
On ne remet pas en cause une telle légitimité, quand bien même il se dit que "papa est en voyage d'affaire".
Le père, est le repaire, le centre névralgique de notre création; il porte encore, inscrit dans nos gènes, un caractère divin auquel nous ne sommes pas prêt de renoncer.
"Nôtre Père...que votre volonté soit faites..." Ainsi soit-il !!
Antoine Pasquier (un copain d'enfance) disait:
"Je m'égare souvent. Au nom de cette liberté qui m'est cher, je veux bien encore que l'on m'accorde ce droit. Que l'on ne soit pas d'accord avec moi m'importe tout autant si non plus. Que mon contradicteur s'exprime sans limites et me préserve de l'égarement ABSOLU."
On pardonne plus souvent aux autres ce qu'on ne supporte pas à soi-même.
RépondreSupprimerAccordons-nous dans ces brèves quelques indulgences !
La lucarne est étroite et le temps nous presse...alors la coquille, vous pensez !! Elle fait partie du voyage !! Inéluctable.
Et bien, il n'y a eu ni brocardage ni questions embarrassantes. C'était du tout cuit. Ils lui ont servi sa soupe électorale. Même la pharmacienne de Nice, pourtant agressée plusieurs fois, a l'air d'en redemander, tant elle insiste sur la ghettoïsation (Elle n'écoute visiblement jamais Zemmour, qui s'esquinte à dire que les immigrés eux-même sont responsables de leur "ghettoïsation") et sur la nécessité de la prévention.
RépondreSupprimerDonc, ça va, ils peuvent continuer à venir la voler et la malmener, elle n'a toujours rien compris. Ou alors il faut supposer qu'elle a fait comme tout le monde: elle a tenté d'acheter la paix sociale en envoyant des signaux de paix à ses agresseurs récidivistes: "voyez comme je vous ai compris ! Allez donc attaquer le pharmacien voisin !" pathétique…