jeudi 6 novembre 2008

Zemmour face à Philippe Val




Extrait de l'émission du samedi 1 Novembre 2008

35 commentaires:

  1. Zemmour y dénonce bien la réducto ad hitlerum...

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  2. Zemmour se donne bien ses propres commentaires.

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  3. ne serait-il pas possible de présenter les vidéos en coupant toutes les interventions de ruquier, en rajoutant au besoin quelques inscriptions écrites pour permettre de suivre le fil de la discussion ? genre "alors ce con de ruquier dit ceci "....", il interrompt bêtement la discussion et nous sommes désolés..."
    sa tronche hilare et stupide est un vrai SUPPLICE à chaque fois.

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  4. Mais ce n'est pas pour rien qu'il interrompt les discussions justement hehehe!!!

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  5. Philippe Val, comment ne pas le trouver superbe et charmant ?
    Je ne suis pas de gauche, mais ce type me plait. C'est qu'il en faut du courage aujourd'hui pour parler de l'islam et de ses trop nombreux déviants.

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  6. Qu'est ce qu'il faut pas lire. Du courage pour parler de l'islam? Non mais sans déconner. L'Islam est le jouet à la mode sur lequel on aime taper. Tous les médias se font écho du moindre pet de travers. C'est pour parler d'Israel et des lobbys sionnistes qu'il faut du courage. Restons dans le factuel pas dans le délire. Val s'est empressé de virer Siné pour faire plaisir à ses mécènes israéliens. Zemmour s'abstient continuellement de la moindre critique comme la plupart de ses collègues assujetties.

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  7. Et chez vous on en pense quoi de l'islam ? A parler de la Palestine et des Palestiniens, vous risquez quoi au juste ? Une rebufade ? C'est ça qui vous effraie ??

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  8. Merde à l'Islam et à Israël! Nous sommes ici en France!

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  9. C'est un peu court !!! Et çà porte pas à voyager des masses. Bonjour l'Europe.

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  10. Moi je peux parler d'un certain lobby juif, parler d'un excès de présence médiatique pour un certain nombre...Et alors, où suis-je ce faisant en danger, en situation d'être égorgé, lapidé, bombé ??
    Sans être antisémite je peux dire ce qui me déplait chez certains d'entre-eux. Au pire, à l'extrême pire, un procès ?? Et alors !! La belle affaire, le beau risque sur ma vie que voilà !

    Pour l'islam qui osera dire: "c'est sans danger. Tu peux y aller et dire tout haut ce que tu en penses" ????
    Vas-y mon petit parles nous"lapidation". Parles nous de cette jeune enfant de 13 ans que l'on vient de lapider en Somalie au nom du plus grand parce qu'elle venait de se faire violer par trois hommes alors qu'elle se rendait à l'école.
    Parle nous de toutes ces femmes que l'on brûle au kérosène, que l'on engraisse, que l'on gave comme des porcs. Parle nous de la charia, cette loi humaine proche des abattoirs. Parles-nous du silence des agneaux !

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  11. le president de la republique devrait prendre Eric Zemmour comme conseillé politique .Il est trop fort.

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  12. Anomyme de 08:52

    Ce que tu cites en exemple et que tu condamnes à juste titre est également condamné par 99% des musulmans. Qui peut consciemment cautionner ces actes barbares ?
    Ceci est un problème politique et culturel, pas religieux.
    On mélange tout là. Je ne critique pas le Judaisme je critique le sionisme politique. De même tu sembles faire l'amalgame entre les actes de fanatiques et la religion dans son ensemble.

    Dis moi la dernière fois ou tu entendu une seule personne critiquer ouvertement la politique d'apartheid d'israel sans être victime de menaces ou d'ostracisme ?
    Demande à Chomski, Dominique Vidal, Norman Finkelstein, Shlomo Sand et d'autres s'ils ne sont pas menacés.

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  13. Déconstruction d’une histoire mythique


    Comment fut inventé le peuple juif



    Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars.
    Par Shlomo Sand

    Tout Israélien sait, sans l’ombre d’un doute, que le peuple juif existe depuis qu’il a reçu la Torah (1) dans le Sinaï, et qu’il en est le descendant direct et exclusif. Chacun se persuade que ce peuple, sorti d’Egypte, s’est fixé sur la « terre promise », où fut édifié le glorieux royaume de David et de Salomon, partagé ensuite en royaumes de Juda et d’Israël. De même, nul n’ignore qu’il a connu l’exil à deux reprises : après la destruction du premier temple, au VIe siècle avant J.-C., puis à la suite de celle du second temple, en l’an 70 après J.C.

    S’ensuivit pour lui une errance de près de deux mille ans : ses tribulations le menèrent au Yémen, au Maroc, en Espagne, en Allemagne, en Pologne et jusqu’au fin fond de la Russie, mais il parvint toujours à préserver les liens du sang entre ses communautés éloignées. Ainsi, son unicité ne fut pas altérée. A la fin du XIXe siècle, les conditions mûrirent pour son retour dans l’antique patrie. Sans le génocide nazi, des millions de Juifs auraient naturellement repeuplé Eretz Israël (« la terre d’Israël ») puisqu’ils en rêvaient depuis vingt siècles.

    Vierge, la Palestine attendait que son peuple originel vienne la faire refleurir. Car elle lui appartenait, et non à cette minorité arabe, dépourvue d’histoire, arrivée là par hasard. Justes étaient donc les guerres menées par le peuple errant pour reprendre possession de sa terre ; et criminelle l’opposition violente de la population locale.

    D’où vient cette interprétation de l’histoire juive ? Elle est l’œuvre, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux reconstructeurs du passé, dont l’imagination fertile a inventé, sur la base de morceaux de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchaînement généalogique continu pour le peuple juif. L’abondante historiographie du judaïsme comporte, certes, une pluralité d’approches. Mais les polémiques en son sein n’ont jamais remis en cause les conceptions essentialistes élaborées principalement à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.

    Lorsque apparaissaient des découvertes susceptibles de contredire l’image du passé linéaire, elles ne bénéficiaient quasiment d’aucun écho. L’impératif national, telle une mâchoire solidement refermée, bloquait toute espèce de contradiction et de déviation par rapport au récit dominant. Les instances spécifiques de production de la connaissance sur le passé juif — les départements exclusivement consacrés à l’« histoire du peuple juif », séparés des départements d’histoire (appelée en Israël « histoire générale ») — ont largement contribué à cette curieuse hémiplégie. Même le débat, de caractère juridique, sur « qui est juif ? » n’a pas préoccupé ces historiens : pour eux, est juif tout descendant du peuple contraint à l’exil il y a deux mille ans.

    Ces chercheurs « autorisés » du passé ne participèrent pas non plus à la controverse des « nouveaux historiens », engagée à la fin des années 1980. La plupart des acteurs de ce débat public, en nombre limité, venaient d’autres disciplines ou bien d’horizons extra-universitaires : sociologues, orientalistes, linguistes, géographes, spécialistes en science politique, chercheurs en littérature, archéologues formulèrent des réflexions nouvelles sur le passé juif et sioniste. On comptait également dans leurs rangs des diplômés venus de l’étranger. Des « départements d’histoire juive » ne parvinrent, en revanche, que des échos craintifs et conservateurs, enrobés d’une rhétorique apologétique à base d’idées reçues.
    Le judaïsme, religion prosélyte

    Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales.

    La Bible peut-elle être considérée comme un livre d’histoire ? Les premiers historiens juifs modernes, comme Isaak Markus Jost ou Leopold Zunz, dans la première moitié du XIXe siècle, ne la percevaient pas ainsi : à leurs yeux, l’Ancien Testament se présentait comme un livre de théologie constitutif des communautés religieuses juives après la destruction du premier temple. Il a fallu attendre la seconde moitié du même siècle pour trouver des historiens, en premier lieu Heinrich Graetz, porteurs d’une vision « nationale » de la Bible : ils ont transformé le départ d’Abraham pour Canaan, la sortie d’Egypte ou encore le royaume unifié de David et Salomon en récits d’un passé authentiquement national. Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale.

    Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Egypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci... était aux mains des Egyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger.

    Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif.

    L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.

    Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).

    A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite.

    Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet.

    La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina, qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe.

    La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4).

    Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale.

    Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ».

    Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés.

    Israël, soixante ans après sa fondation, refuse de se concevoir comme une république existant pour ses citoyens. Près d’un quart d’entre eux ne sont pas considérés comme des Juifs et, selon l’esprit de ses lois, cet Etat n’est pas le leur. En revanche, Israël se présente toujours comme l’Etat des Juifs du monde entier, même s’il ne s’agit plus de réfugiés persécutés, mais de citoyens de plein droit vivant en pleine égalité dans les pays où ils résident. Autrement dit, une ethnocratie sans frontières justifie la sévère discrimination qu’elle pratique à l’encontre d’une partie de ses citoyens en invoquant le mythe de la nation éternelle, reconstituée pour se rassembler sur la « terre de ses ancêtres ».

    Ecrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles.

    Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement.

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  14. Meme si m.val à une epoque a pu m'enerver pour ce qu'il representait comme politiquement correct en quelque sorte,sur le plateau il m'a ete sympathique.Zemmour à raison dans son "analyse",mais Val me seduit.bizzare.

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  15. La religion de l islam est sans appel. Son trace, son histoire, sa parole suffisent a nous eclairer.
    L amalgame est possible entre lui et le terrorisme. C EST CE QU IL ENSEIGNE A CEUX QUI VEULENT BIEN LE CONSIDERER BIEN EN FACE.

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  16. Les peuples musulmams ne condamnent rien des exces dont nous parlons. L histoire, leur histoire, celle de l islame est taillee a la lame du sabre.
    Le conflict est majeure avec l occident puisqu il est culturel et que l islam est devenue le maitre pivot de cette civilisation .

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  17. Il faudrait vraiment que les gamins de 10 ans ou les attardés mentaux arrêtent d'écrire sur ces sujets là (cf 2 posts précédents). Vu leur niveaux en grammaire et en orthographe, il y a de quoi s'interroger sur leur connaissances en histoires car AUCUNE CIVILISATION ne s'est bâtie sans verser des torrents de sang.

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  18. Très heureux de faire votre si charmante connaissance.
    Certaines (civilisations) n'en démordent pas ! Persistent et signent même dans le texte tout au long de leur existence. Comment pourraient-elle opérer autrement ? Les textes sont ce qu'ils sont: incontournables !!!
    Vous vous épargnez le souci de lire ce qui vous dérange ou vous êtes de l'autre bord ? En d'autres termes, serait-ce à dire que vous savez la pertinence du propos qui vous déplait ? Je vous vois très bien à l'inverse de tout ce qui me séduit; cela étant je garde çà pour moi.

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  19. Très heureux aussi de faire votre connaissance très cher...
    Pourquoi certaines ?! TOUTES les civilisations ne peuvent exister qu'en écrasant les autres, c'est dans l'ordre des choses.

    Qu'est ce qui peux bien me déranger et de quel bord pourrais-je bien être ? Le coran incite à la haine et à la domination du monde ? Grand bien leur fasse (ils n'y arriveront de toutes façon jamais) ! Ils ne s'embarrassent pas de l'hypocrisie qui règne partout ailleurs et notamment dans notre cher civilisation judéo-chrétienne.

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  20. Philippe Val, en voila un qui a de la tripe ... Un juste, en clair, comme on aimerait tant qu il y en ait davantage . Le courage c est de dire, de temoigner et de denoncer publiquement l inadmissible au peril de sa vie. Comment,ici, nier lq pqrtie du risque qu a pris cet honmme pour parler clair ?

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  21. Merci Caius César Caligula pour avoir remise les pendules à l'heure.

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  22. Mais qu'est-ce qui peut bien - dans le sommaire de ce raisonnement - faire bander les copains de Caius César et César lui-même ? Mystère !!

    Pensent-ils jamais effrayer les plus intransigeants adeptes d'un islam dominateur ??? Sérieux de chez sérieux ??

    La peur que vous leur inspirez est risible en proportion de celle que nous aurions tord de ne pas éprouver à leur égard, alors que des pages sombres sont écrites dans un livre aux versets clairs qu'un illettré nous a transmis. Y-a qu'à suivre la mode d'emploi. C'est écrit dedans !!

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  23. Cher anonyme,

    Pour moi, l'islam est l'aboutissement du virus judéo-chrétien : son fils illégitime, la plus éclatante expression de la décadence des civilisations touchées par le prurit biblico-coranique.

    En un sens, l'islam est la malédiction d'un monde qui a cru au fadaise de quelque fous tous plus "illettrés" les uns que les autres.

    La civilisation ne revit que quand elle s'affranchit des dogmes religieux, TOUT les dogmes, et qu'elle se réfère à la pensée Grecque. Mais SURTOUT pas à la pensée récupérée et travesti par les religions.

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  24. caius césar caligula, vos propos peuvent intéresser un milieu et un entourage propice au débat d'idées, rendez-vous sur http://flv-france.forumactif.net si vous souhaitez poursuivre des discussions.

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  25. Romain,

    Désolé mais il me semble que ce forum n'existe plus.

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  26. excuse moi voilà le lien :

    http://fvl-france.forumactif.net/forum.htm

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  27. Excellent Zemmour. Excellent Val. Je pense souvent à eux deux ces dernières années, de façon associée : courage, certitude, clarté.
    Val m'avait déjà épatée lors de l'affaire des caricatures car le seul dans le paf à avoir un discours construit et ne se démontant pas. (A se demander ce qu'il fichait jadis avec Font. Bref !)
    Zemmour & Val, il faut les regarder et les écouter autant que possible (accessoirement, les lire), il faut leur permettre de débattre avec tous leurs détracteurs (un à la fois, svp), le plus souvent possible sur tous les sujets qui leur tiendraient à coeur, ou même moins, sur tous les sujets sur lesquels ils auraient une opinion ou des idées. Il en va de la santé de la vraie démocratie et peut-être de notre salut intellectuel à tous.
    Attention aux interruptions contre-productives de l'animateur.

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  28. Un monde sans religieux c'est pas humain quoi qu'on dise et votre attitude toute dogmatique m'effraie autant par sa sévérité toute pareillement religieuse.
    On a déjà goûté de ce plat.
    Vous êtes jeune sans doute ???
    Le problème n'est pas là, en soi, au sein du religieux, il est dans la nature de ce religieux, dans sa spécificité locale.
    Entre le Coran et le Talmud ou l'Ancien et le Nouveau testament les points communs font défauts.

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  29. J'adore ces genres de forums qui font trembler les consciences, où personne ne va faute d'y être invité ni même auccunement sollicité.
    On y déblataires ses imbuvables salades en toute bonne convivialité. Ca fait du bien d'exprimer sa pensée au sein d'un cercle restreint et ami. Ca fait avancer le monde, les choses, c'est indéniable. Et c'est d'un élan sans pareil !

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  30. Faudrait déjà commencer par s'identifier avant d'ouvrir sa gueule...

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  31. Appelez moi MAKI, si vous y tenez.
    Ca vaut bien Kami dans le genre identifiable.

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  32. Maki c'est pourtant pas un invite à nous tutoyer. Ca sonne bien aux oreilles...Ca rappelle de bonnes heures.
    Vous en pensez quoi de Marine LEPEN ?

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  33. Allah claireuu fontaineuuu m'en allant promener,Je vois pas pourquoi ils sont choqués, ça les choque pas d'envoyer des gamins instrumentalisés se faire exploser au milieu de leur propre peuple.A partir de la, leur choquage est plus qu'hypocrite.

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