jeudi 26 mars 2009

Eric Zemmour le 10 Mars 2009 dans "Le Grand Débat" sur Histoire : " Le retour des théories du complot ? "



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Diffusé le mars 10 Mars 2009 sur la chaine Histoire,
Avec Pierre-André Taguieff, Eric Zemmour, Christophe Bourseiller et Guillaume Dasquié.

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dimanche 22 mars 2009

Zemmour face à Nadine Morano



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Extrait de l'émission du samedi 21 Mars 2009.
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Zemmour face à Nathalie Arthaud (Lutte Ouvriere)




Extrait de l'émission du samedi 21 Mars 2009.
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samedi 21 mars 2009

Eric Zemmour dans "Ca se dispute" le 21 Mars 2009, sur I-Télé




Au sommaire :
- Un printemps chaud ... ou brulant
- Le bouclier fiscal résistera-t-il ?
- Trichet triche-t-il avec les prévisions ?
- Le duel Karoutchi-Pécresse
- "Welcome", le mal-venu ...
- PS : petits couacs, petits scores ...

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Youssoupha, rappeur : "Je mets un billet sur la tête de celui qui fera taire ce con d’Eric Zemmour."

Son arme, c’est les mots. Rien d’autre. C’est ce que défend le rappeur Youssoupha, au coeur d’une polémique depuis quelques jours. Dans sa chanson « A force de le dire », mise en ligne sur son site Internet comme un avant-goût de son nouvel album, il glisse un tacle à l’un des polémistes de « On n’est pas couché » : « Je mets un billet sur la tête de celui qui fera taire ce con d’Eric Zemmour.

» Il n’en fallait pas plus pour affoler la Toile et les blogs.

« Le faire taire, c’est le remettre en place »

« Les paroles ne parlent ni de meurtre, ni d’agressions, ni de blessures, expliquait hier l’artiste. Je n’ai ni l’envie de le faire tuer ni de le priver de sa liberté d’expression. Le faire taire, c’est le remettre en place, le mettre face à ses propres contradictions. » Car le rappeur se sent malmené par l’éditorialiste qui voit « les rappeurs comme des analphabètes, a des problèmes avec l’immigration, l’islam, bref tout ce qui me concerne », poursuit le musicien. « Je suis français musulman, rappeur. Zemmour officie sur le service public que je paie à travers la redevance. Et on m’y insulte, on m’y marginalise. »
Alors beaucoup de bruit pour rien ? Oui, aux yeux de Youssoupha prêt à débattre avec son contradicteur. « Dans ma chanson, je parle aussi du sida, de la guerre au Congo, de l’élection d’Obama, de la violence dans les stades, du conflit au Moyen-Orient. Et je consacre une ligne à Zemmour. Si j’avais vraiment voulu monter en épingle une polémique pour vendre mon disque, j’aurais appelé ma chanson A force de le dire à Eric Zemmour ».

Contacté hier, le journaliste ne souhaite pas réagir. « Je me tiens à un strict silence, j’attends, j’observe… Contrairement à ce que j’ai pu lire, je n’envisage pas pour l’instant de porter l’affaire en justice. » La question n’a pas été abordée lors de l’enregistrement du « On n’est pas couché » de ce soir.

Video : Youssoupha s'explique

Le Parisien, 21 Mars 2009

Bandes de non-droit

Par Éric Zemmour
Publié le 20/03/2009 dans Le Figaro


Dans un mois ou dans un an, un policier sera tué à l'occasion d'un traquenard banlieusard. Un et puis deux et puis trois. Et puis dix. Alea jacta est. L'histoire est écrite. Selon un rituel immuable.

Tout a commencé il y a trente ans. A chaque fois, la barre est hissée plus haut. On jette une pierre et puis des centaines. On brûle une voiture et puis des milliers. Le soir du Nouvel An, à Strasbourg, et puis tous les soirs, partout. On dépouille les petits bobos pendant la Fête de la musique. Et puis à toutes les manifs. On sort les couteaux, et puis les haches, et puis les marteaux. On tire sur une voiture de police. Et puis on multiplie les traquenards. On sort les pistolets à grenaille, les fusils. Et demain, les kalachnikovs ?

A chaque fois, les médias s'émeuvent, les syndicats de police s'époumonent, les politiques menacent. Les sociologues expliquent doctement que ces jeunes expriment une souffrance, une douleur, un mal-vivre. La faute au chômage, à l'exclusion, aux discriminations. A Voltaire. A Rousseau.

Et tout retombe et tout recommence. Les sociologues poursuivent : «Il n'y a pas de bandes ethniques», c'est-à-dire que des enfants d'immigrés africains se mêlent à des Antillais. On est soulagé. Les policiers reculent. Les territoires « libérés » s'étendent. Les trafiquants de drogue se réjouissent. Plus on dérangera la tranquillité de leurs trafics, plus ils feront monter les enchères de la violence. Ils se pavanent en BMW ; ils menacent, ils rackettent, mais ils protègent aussi et remplissent les Caddies. Ils jouent Scarface tous les jours. «Il n'y a pas de zones de non-droit en France.» Les policiers vont partout. Avec des CRS par dizaines, déguisés en Robocop. Trois petits tours et puis s'en vont. Ils doivent contenir, mais non répliquer. Zéro mort. L'Etat n'a plus le monopole de la violence légitime.

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dimanche 8 mars 2009