Au sommaire:
- Prison Break
- Sarkozy: son plan de relance
- Les endimanchés
- Bêtes de concours
Merci à Satrianez pour l'upload hebdomadaire !
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Cher Monsieur Eric Zemmour,
RépondreSupprimerbravo pour votre courage et vos opinions que je ne trouve pas d'extrême droite nonobstant l'opinion d'une majorité de journalistes et de la sphère politico médiatique de gauche rive-gauche bobo. Si dire la réalité des choses et ne pas avoir la langue de bois est être extrémiste, alors nous sommes en France 53% d'extrémistes qui ont voté pour Nicolas Sarkozy.
Tout cela pour vous parler de mon expérience personnelle sans aucune subjectivité puisque j'en ai été un acteur de terrain : de 1995 à 1999, j'ai habité au 6 passage cottin dans le XVIIIè au 6è étage. Toutes les nuits pendant ces 4 années, des jeunes désœuvrés et sans famille, plutôt gentils après un premier contact physique rugueux, faisaient du bruit jusqu'à 5 heures du matin et empêchaient tout le quartier de dormir. Ils étaient de 5 à 10. Ayant été pion pendant mes études, je n'avais pas peur des "jeunes" et il m'est arrivé de nombreuses fois de descendre sans à priori et énervé pour leur faire comprendre que la vraie vie (dans la majorité des cas) se passait de jour avec un travail et que passer son temps dehors comme cela, pas une pas deux, mais 100% des nuits dehors ne les préparaient pas à l'intégration et ne les mettaient pas sur un bon chemin pour avoir de l'énergie, trouver un travail et l'assumer de jour. Certes, vu la conjoncture économique, le travail, il était difficile pour eux d'en trouver... Malgré cela, étant compositeur, je me suis attiré leur sympathie. Ils me parlaient de rap, de dance... Jusqu'au jour où j'ai mis le doigt dans quelque chose de plus gros. J'ai commencé à déranger un trafic (de drogue bien entendu). Le résultat ne s'est pas fait attendre. Menaces de mort, caillassage de toute la façade de l'immeuble par une meute de 25 voyous, dans le petit passage Cottin, cela faisait de l'effet. La jeune étudiante anglaise qui habitait au premier étage de l'immeuble hurlait pendant que ses vitres de 2m de haut descendaient les unes après les autres. Elle essayait de se réfugier à l'angle de son appartement de 18 m2 (1m2) pour éviter d'être lapidée et blessée par les morceaux de vitre. Nous avons demandé aux gendarmes d'intervenir. J'étais seul dans l'immeuble, courageux, à être intervenu, les autres, visiblement majoritairement de gauche, me regardaient comme un provocateur et un hurluberlu, comme si j'étais le fauteur de trouble. Résultat, j'ai déménagé, plusieurs locataires ont fait de même. IL est vrai que ce quartier avait été territorialisé par les bandes et quelques trafiquants de drogue et que nous étions des gêneurs. La Mairie était tenue par Monsieur Vaillant, Ministre de l'Intérieur et le quartier par Monsieur Jospin, premier secrétaire du PS qui préferait habiter, lui, rue du Cherche Midi, c‘est vrai, c’est plus calme... et nous, les victimes étions ceux qu'ils fallaient virer... J'ai compris que c'était la méthode pour territorialser un quartier. Terroriser les gens, lapider les femmes... Je ne vous parle pas des chiens et des BMW 723i conduites par 4 malfrats de 18 à 25 ans maximum qui tournaient dans le quartier pour intimider. Chicago.
Je n'ai pas parlé de l'origine des gens qui se comportaient ainsi mais est-ce besoin de vous le préciser !
Ce n’est pas du racisme ni du délit de sale gueule, ce sont des faits.
Mon témoignage est factuel. Ce sont des faits que j'ai vécu. Voilà comment une culture qui veut dominer notre pays s'impose petit à petit. Mafia, intimidation, violence, contrôle et gangrène des quartiers petit à petit, ils ont le temps et la force pour eux puisque la République ne veut pas ou ne voulait pas intervenir en faisant respecter la Loi. Comprenez, elle avait peur que cela dégénère ! Avec Nicolas Sarkozy, les voyous commencent à avoir peur de la République et c'est bien ainsi, c’est un peu mieux.
Courage à vous, vous n'êtes pas d'extrême droite, comme on essaie de vous faire passer, vous êtes une personne normale, juste une personne normale. Si vous êtes si attaqués par le monde politico-médiatique, c'est que vous dérangez. Continuez à gardez votre calme, vous êtes excellent, vous êtes la voix de millions de gens, et je n'ai qu'un mot à dire, BRAVO.
J'ai connu l'ostracisme que vous vivez parce que dans le show-biz et dans la sphère des artistes, parler de cette expérience et dire mon opinion sur les faits réels que j'ai vécu, me préparait déjà à la mise à l'écart parce que mon opinion n'était pas la langue de bois et que la majorité des gens que je côtoyais étaient ou prétendaient être de gauche, près des gens, le coeur sur la main et toujours prêts à être devant la caméra pour des causes médiatiques, parce qu'un artiste ne peut pas être de droite, comme un journaliste. Moi, je n'en avais rien à faire d'être de droite ou de gauche mais j'ai été stigmatisé, ostracisé, éjecté par la pensée dominante, non démocratique, du monde artistique et médiatique, parce qu‘ayant présenté juste des faits, alors qu'artistiquement parlant, c'est cela qui est important, non, je faisais beaucoup d'envieux. Ah oui, le coupage de tête à la française... Mais vous connaissez mieux que moi. Malheureusement, les structures mentales et physiques de la France ont été marxisées et il faudra une génération pour sortir de l'ambiance stalinienne que nous connaissons aujourd'hui : délation, ostracisme, dénonciation, liquidation des gêneurs et de ceux qui ne partagent pas la pensée dominante du monde médiatique.
Résistez, résistez, vous êtes la résistance...
François SERVENIERE,
compositeur
Cher Monsieur Eric Zemmour,
RépondreSupprimerbravo pour votre courage et vos opinions que je ne trouve pas d'extrême droite nonobstant l'opinion d'une majorité de journalistes et de la sphère politico médiatique de gauche rive-gauche bobo. Si dire la réalité des choses et ne pas avoir la langue de bois est être extrémiste, alors nous sommes en France 53% d'extrémistes qui ont voté pour Nicolas Sarkozy.
Tout cela pour vous parler de mon expérience personnelle sans aucune subjectivité puisque j'en ai été un acteur de terrain : de 1995 à 1999, j'ai habité au 6 passage cottin dans le XVIIIè au 6è étage. Toutes les nuits pendant ces 4 années, des jeunes désœuvrés et sans famille, plutôt gentils après un premier contact physique rugueux, faisaient du bruit jusqu'à 5 heures du matin et empêchaient tout le quartier de dormir. Ils étaient de 5 à 10. Ayant été pion pendant mes études, je n'avais pas peur des "jeunes" et il m'est arrivé de nombreuses fois de descendre sans à priori et énervé pour leur faire comprendre que la vraie vie (dans la majorité des cas) se passait de jour avec un travail et que passer son temps dehors comme cela, pas une pas deux, mais 100% des nuits dehors ne les préparaient pas à l'intégration et ne les mettaient pas sur un bon chemin pour avoir de l'énergie, trouver un travail et l'assumer de jour. Certes, vu la conjoncture économique, le travail, il était difficile pour eux d'en trouver... Malgré cela, étant compositeur, je me suis attiré leur sympathie. Ils me parlaient de rap, de dance... Jusqu'au jour où j'ai mis le doigt dans quelque chose de plus gros. J'ai commencé à déranger un trafic (de drogue bien entendu). Le résultat ne s'est pas fait attendre. Menaces de mort, caillassage de toute la façade de l'immeuble par une meute de 25 voyous, dans le petit passage Cottin, cela faisait de l'effet. La jeune étudiante anglaise qui habitait au premier étage de l'immeuble hurlait pendant que ses vitres de 2m de haut descendaient les unes après les autres. Elle essayait de se réfugier à l'angle de son appartement de 18 m2 (1m2) pour éviter d'être lapidée et blessée par les morceaux de vitre. Nous avons demandé aux gendarmes d'intervenir. J'étais seul dans l'immeuble, courageux, à être intervenu, les autres, visiblement majoritairement de gauche, me regardaient comme un provocateur et un hurluberlu, comme si j'étais le fauteur de trouble. Résultat, j'ai déménagé, plusieurs locataires ont fait de même. IL est vrai que ce quartier avait été territorialisé par les bandes et quelques trafiquants de drogue et que nous étions des gêneurs. La Mairie était tenue par Monsieur Vaillant, Ministre de l'Intérieur et le quartier par Monsieur Jospin, premier secrétaire du PS qui préférait habiter, lui, rue du Cherche Midi, c‘est vrai, c’est plus calme... et nous, les victimes étions ceux qu'ils fallaient virer... J'ai compris que c'était la méthode pour territorialiser un quartier. Terroriser les gens, lapider les femmes... Ce sont des méthodes que l’on a vu ailleurs, il ne manque plus que le litre d’essence et l’allumette. Je ne vous parle pas des chiens et des BMW 723i conduites par 4 malfrats de 18 à 25 ans maximum qui tournaient dans le quartier pour intimider. Chicago.
Je n'ai pas parlé de l'origine des gens qui se comportaient ainsi mais est-ce besoin de vous le préciser !
Ce n’est pas du racisme ni du délit de sale gueule, ce sont des faits.
Mon témoignage est factuel. Ce sont des faits que j'ai vécu. Voilà comment une culture qui veut dominer notre pays s'impose petit à petit. Mafia, intimidation, violence, contrôle et gangrène des quartiers petit à petit, ils ont le temps et la force pour eux puisque la République ne veut pas ou ne voulait pas intervenir en faisant respecter la Loi. Comprenez, elle avait peur que cela dégénère ! Avec Nicolas Sarkozy, les voyous commencent à avoir peur de la République et c'est bien ainsi, c’est un peu mieux.
Courage à vous, vous n'êtes pas d'extrême droite, comme on essaie de vous faire passer, vous êtes une personne normale, juste une personne normale. Si vous êtes si attaqué et villipendé par le monde politico-médiatique, c'est que vous dérangez. Continuez à gardez votre calme, vous êtes excellent, vous êtes la voix de millions de gens, et je n'ai qu'un mot à dire, BRAVO.
J'ai connu l'ostracisme que vous vivez parce que dans le show-biz et dans la sphère des artistes, parler de cette expérience et dire mon opinion sur les faits réels que j'ai vécu, me préparait déjà à la mise à l'écart parce que mon opinion n'était pas la langue de bois et que la majorité des gens que je côtoyais étaient ou prétendaient être de gauche, près des gens, le coeur sur la main et toujours prêts à être devant la caméra pour des causes médiatiques, parce qu'un artiste ne peut pas être de droite, comme un journaliste. Moi, je n'en avais rien à faire d'être de droite ou de gauche mais j'ai été stigmatisé, ostracisé, éjecté par la pensée dominante, non démocratique, du monde artistique et médiatique, parce qu‘ayant présenté juste des faits, alors qu'artistiquement parlant, c'est cela qui est important, non, je faisais beaucoup d'envieux. Ah oui, le coupage de tête à la française... Mais vous connaissez mieux que moi. Malheureusement, les structures mentales et physiques de la France ont été marxisées et il faudra une génération pour sortir de l'ambiance stalinienne que nous connaissons aujourd'hui. Délation, ostracisme, dénonciation, liquidation des gêneurs et de ceux qui ne partagent pas la pensée dominante du monde médiatique.
Résistez, résistez, vous êtes la résistance...
François SERVENIERE,
compositeur
Bravo pour votre témoignage. Bravo à Eric Zemmour. Nous en avons marre du terrorisme intellectuel de la gauche.
RépondreSupprimerMerci Eric !
RépondreSupprimerTotalement vrai pour ceux qui connaissent des milieux artistiques:
RépondreSupprimerIl est très mal vu de ne pas s'afficher (Précisons bien:s'afficher, parce que le concret, c'est autre chose souvent...) de gauche.
Demander des détails sur les conviction des "engagés" est assez édifiant en général.
Ben voyons, si on en finissait avec cette vieille culture française, élitiste et nauséabonde, et qu'on adoptait cette bonne et généreuse culture islamiste !
RépondreSupprimer"Ben voyons, si on en finissait avec cette vieille culture française, élitiste et nauséabonde, et qu'on adoptait cette bonne et généreuse culture islamiste !"
RépondreSupprimerEt si tu réfléchissait un peu avant d'écrire des idioties.
Caius, je pense que l'anonyme que vous citez s'exprimait au second degré ;-))
RépondreSupprimerIl me semble aussi que c'était ironique, mais l'on peut rapidement s'emporter surtout après se faire traiter de tout et n'importe quoi par des gens mal intentionnés...
RépondreSupprimerMerci Goldfinger de me permettre de me calmer les nerfs en lisant autre chose que des proces d'intentions. ^_^
http://fvl-france.forumactif.net/forum.htm
C'est toujours marrant de lire les commentaires.
RépondreSupprimerUne fois, au collège, je me suis fait tappé par deux blancs. Mécaniquement, avec ma vision un rien subjective, j'en ai déduit que tous les blancs étaient comme ça.
Depuis, je les déteste et essaie de faire comprendre à cette France aveugle ("mettre ici le parti politique que vous détestez"... ça marche à chaque fois) que le Blanc était l'ennemi. L'homme à abattre.
Jusqu'au jour où... Je me suis rendu compte que j'étais blanc...
Bref, vous me faites tous (presque) rire avec vos expériences de malheureux (mon Dieu, mais les rues sont moins qu'au moyen-âge... c'est fou quand même...).
Alors oui, y a des problèmes, oui, y a des connards qui agressent les gens, oui, y a des tarés qui violent des nanas, oui, y a des bronzés qui vendent de la came (c'est qui leur patron d'ailleurs ? et leurs clients ?), oui, y a ces mêmes bronzés qui font les vilaines choses citées supra...
Mais je crois (oui, je crois car je n'ai aucun chiffre solide) qu'il y a au moins 1 blanc-de-souche-française-depuis-10-générations qui a déjà fait tout ça...
Ah, François
"Je n'ai pas parlé de l'origine des gens qui se comportaient ainsi mais est-ce besoin de vous le préciser !
Ce n’est pas du racisme ni du délit de sale gueule, ce sont des faits."
Non, bien sûr, vous n'avez rien dit. Mais l'image est tellement forte (barbès, chien, bm, drogue, femmes inférieures...) que je parie
ma chemise que ces types étaient des... français. Hein ? Non ? des maghrébins. Ah... oui, je l'avais deviné...
Certes, vous précisez immédiatement lors de la phrase suivante que nous n'êtes pas raciste (je résume). Pourquoi le faire ? Rien ne l'indiquait dans vos propos. Mais alors, pourquoi ne pas avoir dit directement des non-français, des arabes ou des maghrébins (notez bien, je vais comme François, je précise: ce ne sont pas des insultes... ouf. je suis sauvé).
Bref, heureusement que vous étiez dans ce quartier pour discuter avec les gens (moi, perso, dès que le bronzage devient un peu trop permanent, j'ai peur et je sauve), vous avez maintenu un certain lien social essentiel (bon, ok, c'était à travers le rap mais pourquoi pas...).
Juste une question: ce témoignage factuel ne fait état d'aucun problème des agissements de ces voyous sur des français étant légèrement (ou bcp) bronzés (juste une anglaise, que l'on suppose blanche d'ailleurs). Est-ce parce que vous ne connaissiez aucune de ces personnes ou parce que les voyous choisissaient leurs victimes ?
A+
Paix (traduction française de "peace"). (non, ce n'est ni 68ard (j'étais pas né), ni anarchiste ni...). Juste un mot. Un peu comme race d'ailleurs.
Enfin une critique valant quelque chose ! François Serveniere y répondra lui-même puis ce qu'elle le concerne.
RépondreSupprimerIl me faut quand même préciser que la plupart de ceux achetant de la drogues aux racailles sont effectivement les bobo ne rendant pas du tout service à ce pays.
Cher Kami la consommation de drogue a pas mal evoluée est n'est pas le monopole de "bobos decadents"...
RépondreSupprimerLa cocaine s'est par exemple géneralisée a pas mal de classes sociales(Pas au show biz, et on en trouve tres facilement partout, meme dans des bleds en province...), a des gens qui en prennent pour bosser (Et se font pieger), deviennent parfois dealer pour se fournir...
Le haschich ? Meme les gens de droite en prennent...
Meme le fils de Sarkozi...
Les drogues sont des produits qui n'ont pas de couleurs politique...
Mais le débat sur la drogue est tronqué en France, c'est le mal absolu, et la prohibition, inefficace depuis plus de 30 ans (Et que les reseaux mafieux, remercient) ,e sera jamais remise en cause.
Il faut des sorcières a bruler.
(Mais alors, ca se paie cher, la morale selective...)
En attendant le premier usage des amphetamines, ca n'etait pas pour les bobos...Mais pour les soldats en 1914...La ca n'etait pas le mal absolu curieusement...
En tout cas les bobo sont ceux qui viennent acheter dans la banlieue où vit mon père.
RépondreSupprimerIl ne faut pas non plus en venir à légaliser pareille substance pour une simple question de principe, et ce même si beaucoup de consommateurs sont attirés par son coté illégal.
La première guerre mondiale fut effectivement n'importe quoi en terme de stratégie et une boucherie sans nom... Il ne faut pas non plus oublier le débarquement sur les plages Françaises dont les quelques rares survivants des premières lignes Américaines furent des prisonniers à qui l'on avait promis la délivrance s'ils restaient en vie en foutant de la poudre dans leurs rations pour les droguer afin d'être capable d'affronter la peur de la mort...
Il ne faut pas faire la guerre si c'est pour croire qu'elle sera "propre" ou "sans bavures" comme beaucoup aiment le penser.
Et bien il n'y a pas que les bobos du quartier de votre père.
RépondreSupprimerLa consommation de drogues touche toutes les classes sociales.
La prohibition de l'alcool (Une drogue, celle qui fait le plus de degat en Europe d'ailleurs...), n'est toujours pas a l'ordre du jour.
Aux USA dans les années 20, sa prohibition a donné des resultats magnifiques...
Si la drogue peut etre utilisée a la guerre, c'est peut etre qu'elle n'est pas le mal absolu.
Une chose certaine, on ne guerri pas quelqu'un d'une addiction (S'il y a, ca depends des produits )
en le mettant en prison.
(Tres bien fournies en substances diverses)
Dans les années 90 le premier motif de detention dans les prisons pour femmes c'etait la drogue.
(Consommation en premier lieu...)
De toute facon si on legalise le haschich en france, c'est l'emeute dans pas mal de quartiers...
La drogue ne sera pas legalisée pour une question de principe...mais elle n'est pas interdite non plus pour une question de principe...
(C'est politique, le marché de la drogue est integré a l'economie avec une hypocrisie qui faite du degat...)
Dépénaliser sans aucun doute (Le pire est que ca l'est de facon arbitraire selon le contexte), parce que la loi francaise est si arbitraire, qu'ecrire qu'on peux prendre du plisir a consommer des drogues vous met sous le coup de la loi.
(C'est evident que les gens prennent des drogues uniquement pour se detruire ou parce qu'il sont des grands rebelles...Meme Chirac !)
Aussi ridicule que les races pour Zemmour, on a pas le droit de parler du probleme !
Mon Forum permet d'aborder ce genre de problème tant que ceci est fait de manière aussi lucide et intéressante: http://fvl-france.forumactif.net/forum.htm
RépondreSupprimerFaut bien se faire de la publicité... Pas de réponse de la personne tenant le Blog de qui nous attendions la permission...
Disons qu'en ce qui concerne les drogues, le manque de lucidité coute trés cher depuis trés longtemps.
RépondreSupprimerEt que des pays dont certains ont fait en leur temps "Les guerres de l'opium" fassent la morale, c'est édifiant....
On peut en parler au bar du coin, avec son ballon de rouge, en fumant sa cigarette...
La morale devrait alors se faire par quel individu ou quelle nation ayant la conscience suffisement non entachée pour s'en trouver digne ?
RépondreSupprimerJe me fais toujours piégé quand j'écris dans une boite à commentaire. : tous les anonymes sont le même Anonyme.
RépondreSupprimerPour François, je suis l'auteur du texte un peu plus haut dans lequel je fais référence au votre (et c'est mon seul texte sur cette page, hormi celui que vous lisez en ce moment).
Je vais donc m'appeler "Cousea" (c'est ce qui apparait comme mot pour la vérification... je suis pas allé chercher bien loin).
Sur le débat qui achète quoi, il est clair que les offreurs (ie les vendeurs dans la rue; d'ailleurs, à ce sujet, lisez Stephen D Levitt et son Freakonomics, c'est plutôt sympa, bien que invalidés par les données à certains endroits) sont "multiples" et les demandeurs également. Quelques statistiques sur la question serait plus que bienvenues mais les chercheurs spécialisés dans le domaine (l'économie de la drogue) utilisent souvent des proxy (ou des "analyses factuelles") avec tous les biais que cela peut induire... C'est, à mon avis, assez dur d'évaluer cette économie souterraine, comme tout ce qui est illégal d'ailleurs.
Mais bon, dans mon post, le raisonnement se voulait un rien poppérien, montrant qu'une loi générale (tout du moins, c'est ce que j'ai ressenti à la lecture du texte de François...) déduite avec 2 faits peut être facilement réfutable. D'où l'intérêt plus que douteux de ce texte en général (à mon avis)...
Bonne journée à tous,
Cousea (trop cool ce surnom, ça fait un peu basané en plus... vous trouvez pas ?)
PS: j'ai été trop long. l'actualisation du mot de vérification me donne rorippin désormais. tant pis, je garde cousea !
La morale n'a rien a voir.
RépondreSupprimerEn matière de drogue, c'est comme pour la politique etrangère, il faut etre pragmatique et reconnaitre ce qui marche.
Le probleme est, on peut le repeter:
Les gens prennent et ont toujours pris des drogues.
A moins d'instaurer 1984 (Et encore), c'est impossible de détruire la demande.
La prohibition c'est le finacement des reseaux mafieux et des terroristes, le tout lié a des trafics d'armes et a la prostitution, etc....
Beaucoup, beaucoup d'argent sale et de corruption a la clé.
Et la consommation ne chute pas pour autant !
Maintenant , tout ca est integré dans le système actuel, il n'y aura pas de changement...
(Si ca peut vous rassurer, mais ca n'est pas rassurant du tout...L'economie de la drogue est une menace incroyable...Et on continue de refuser de regarder le probleme en face !)
Mais ne diabolisez pas le probleme de la drogue, c'est vraiment abdiquer son cerveau pour reciter du politiquenent correct...
(Kami les nations ne sont pas morales...)
Nous avons encore assité à du "Grand Zemmour" :)
RépondreSupprimerBravo à lui
Mais qu'attend t'il pour se lancer en politique?
Eric Zemmour, quel journaliste!! Mon Dieu heureusement qu’il en existe encore de cette race là !! La race de seigneurs !
RépondreSupprimerVous aimez La France alors vous aimerez Zemmour !
Dites M. Nicolas Domenach montrez l’exemple ; quittez donc un peu votre beau quartier bobo et allez emménager dans une cité avec ces « jeunes » dont vous n’avez pas peur et que vous aimez tant ! Allez vous frottez à la vraie réalité et non ce paradis angélique que vous nous avez conceptualisé ; riche de ses différences, de ses diversités culturelles, blabla et blabla.. et que vous cherchez sans cesse à nous vendre !
Allez donc plonger dans ces banlieues désertées par nos compatriotes qui les fuient comme la peste.
Ces territoires que la République a livrés sans contrôle aux hordes d’émigrés, têtes de pont des colonnes immenses en branle depuis les anciennes colonies et d’ailleurs … Et puis revenez ensuite nous redire tout cela !! Alors vos discours auront peut-être un plus de poids en face de Zemmour
Encore une fois, merci à vous Monsieur Zemmour. Vous êtes bien le seul à avoir le courage de vos opinions dans le paysage médiatique d'aujourd'hui, essentiellement composé de censeurs à la triste figure qui se complaisent à la critique systématique des mesures gouvernementales, parce que c'est dans l'air du temps (et j'ajouterais, faute de pouvoir y apporter de contre-proposition valable et non démagogue). J'admire votre sang-froid devant des commentateurs comme Nicolas Domenach qui semble avoir une haute estime de lui-même et, à l'instar du présentateur, ne cesse de vous couper la parole. Vous avez bien raison de souligner qu'une large proportion de français souffrent du laxisme des bourgeois vivant dans des quartiers privilégiés. Ces mêmes bourgeois qui signent des parrainages républicains mais s'accomoderaient mal de faire vivre sous leur toit leurs filleuls d'un jour. Ces mêmes bourgeois que j'inviterais bien volontiers à séjourner dans certaines ZUP de province (il n'y a pas que les banlieues à souffrir) où la peur réelle des représailles empêche ceux qui subissent des vandalismes, des intimidations et autres méfaits du genre, de porter plainte auprès des autorités. Qu'ils y viennent ces donneurs de leçon patentés et qu'ils y passent quelques jours, au même titre que les résidents. J'invite à s'y rendre Monsieur Domenach dont l'agressivité me ferait presque sortir de mes gonds, n'était mon désir de ne manquer aucun de vos propos. Amicalement à vous,
RépondreSupprimer"(Kami les nations ne sont pas morales...)"
RépondreSupprimerEvidemment.
Pour Charlette:
RépondreSupprimerEric Zemmour se faisant souvent couper la parôle, lorsqu'il peut la commencer, dans plusieurs émission mais non dans celle-là où il peut la prendre quand bon lui semble.
il y a une tare intreseque a l'audiovisuel.
RépondreSupprimerZemmour se dit littéraire, on peut lui rendre hommage sur un point, il arrive a faire passer des choses dans un système ou on a souvent 30 secondes pour évoquer des problèmes complexes.
Ca demande pas mal de technique et talents réthoriques et oratoires...
C'est difficile d'etre aussi bon devant une caméra que dans un article ou on peut se relire !
Et on n'est pas coupé par quelqu'un d'autre (Mais on peut se faire censurer, cela dit on peut douter que Zemmour le soit là ou il ecrit...).
L'écrit a quelques avantages sur l'audiovisuel au niveau profondeur et developpement de la pensée...
Mais ca demande des efforts en comparaison à juste s'affaler devant une télé...
A propos de morale :
RépondreSupprimerhttp://fr.youtube.com/watch?v=5Sqqhr4_J28
(Dérivé de l'experience de Milgram, mais autant utiliser une version francaise...)
L'individu doit faire preuve de lucidité des son plus jeune âge, et ne pas attendre une prétendue morale qu'on lui proposera.
RépondreSupprimerTrafic de sciences à di:
RépondreSupprimerA François SERVENIERE
J'ai habité le passage Cottin dans l'arrodissement que vous dites. Au 6 et dernier étage... C'était dans ces années là...Mais je n'ai pas souvenir de tels égarements.
Peut-être n'était-ce pas à ce même numéro ??? Encore qu'à mon souvenir le passage en comprote bien peu...
En tout cas c'est pas moi, je ne suis pas le père !
Je me suis trompé dans l'adresse, l'immeuble dont je parlais est je crois (en retrouvant mon ancienne adresse) celui qui fait le coin entre la rue du Chevalier de la Barre au N°6 (c'est pourquoi j'ai commis cette erreur) et le N°3 du passage cottin, face à l'hotel. Si je me suis trompé sur le N° de l'immeuble, mon expérience, que je n'ai pas inventée, être mis en joue par un pistolet à grenaille (expérience identique d'une voisine enceinte qui habitait au 3è), voir deux jeunes tenus violemment par des policiers du quartier pendant qu'ils me menaçaient de m'égorger, les caillassages ci-dessus racontés, la menace permanente des bandes, des désoeuvrés couchant dans l'entrée de l'immeuble tous les soirs, des chiens (pitbulls et rockvellers) alors que je rentrais de l'école avec mes enfants de 8 et 10 ans, était bien réelle.
RépondreSupprimerCher Monsieur, il est vrai qu'à Paris, la canicule de 2003 l'ayant prouvé, on peut mourir dans un immeuble plein sans que personne ne s'en aperçoive. On attendait à cette époque que l'odeur devienne insupportable pour s'étonner que la vieille voisine n'ait pas donné de ses nouvelles depuis quelques temps... Alors dans un quartier petit comme le passage Cottin, un meurtre même violent, serait passé totalement inaperçu, tant l'indifférence est crasse dans cette ville !
Bien à vous.
François SERVENIERE
compositeur