dimanche 25 janvier 2009

Zemmour face à Charles Dantzig




Charles Dantzig, le Samedi 24 Janvier 2009, pour la sortie de son essai Encyclopédie capricieuse du tout et du rien.
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6 commentaires:

  1. Charles Dantzig, pas Dantec ! Rien à voir avec Maurice G.

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  2. Personnellement, je le trouve hyper prétentieux ce Dantzig... Assez d'accord avec Naulleau, encore plus avec Zemmour.

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  3. Dantzig est vraiment un écrivain, son « Dictionnaire égoïste de la littérature française » (paru en 2005) l'a prouvé. Naulleau est parfois de mauvaise foi, et fait preuve d'un certain conformisme (son plaidoyer en faveur des pétitionnaires !)...

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  4. Note au webmestre : s'il vous plaît, cessez de mettre une majuscule à "samedi", à "janvier", aux noms des jours et des mois en général... Cet abus des majuscules en français, depuis vingt ans, constitue un affreux anglicisme. Si vous ne le faites pas pour moi, faites-le pour Zemmour.

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  5. C'est un excellent dictionnaire produit par les éditions Zemmour !!! Etant étudiant je vis parfaitement ce genre de choses! Les Assemblés Générales des universités sont non-représentives et sont anti-démocratiques! On voit une centaine de personnes juger de l'ouverture d'une faculté ou de sa fermeture. Beaucoup de personnes sont manipulées politiquement, gauchisées, se prenant pour des révolutionnaires... Personne n'arrive à réformer l'école et l'enseignement depuis la IVème République. Faudra-t-il attendre une VRAIE Révolution pour que cela change?

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  6. Tiens c'est drôle parce que je suis justement en train de lire Petit Déjeuner chez Tyrannie, et il semblerait effectivement que Dantzig ait mal lu le livre de Naulleau : "Tout l'édifice littéraire repose pour l'essentiel sur une tête d'épingle [...] : l'interdiction de la publicité à la télévision dont les éditeurs à la Bernard Fixot réclament à grands cris l'abrogation, tout comme ils exigèrent un temps celle des descriptions et des péripéties superflues dans les romans de Balzac ou de Stendhal." (p. 16, ed. 2003).
    Ce que dit Naulleau ici, selon le contexte, ce n'est pas que les éditeurs de Balzac ait voulu abroger les descriptions trop longues, mais que des éditeurs ultérieurs, "à la Bernard Fixot", ont voulu faire de la littérature facile, consommable, en retirant du texte original ce qui était trop long... Dantzig est donc un lecteur pressé, un lecteur qui lit en diagonal. Ce qui est d'autant plus drôle qu'il l'a fait pour pouvoir se défendre ce soir-là...

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