jeudi 14 juin 2012

La chronique "Z comme Zemmour" du 14 Juin 2012 sur RTL

Eric Zemmour : "Emeutes en Tunisie : de l'art ou du cochon ?"



.

17 commentaires:

  1. La révolution c'est bien joli, mais après? çà me rappelle la réplique dans, il était une fois la révolution, "et qu'est ce qui se passe après!! rien! on prend les mêmes et tout recommence comme avant!"

    RépondreSupprimer
  2. Drôle. Il faut savoir que Aubry passait juste derrière, je me demande si elle était déjà dans le studio pour bénéficier de la chronique savoureuse. Si tel était le cas, elle devait tirer la tronche.
    Toujours sur RTL, dans On refait le monde, j'ai été proprement scandalisé d'entendre Yves Thréard se faire littéralement incendier à l'antenne par 3 autres chroniqueurs totalement asservis à la cause socialiste et s'en vantant qui plus est. C'est quand même navrant de ne pas pouvoir organiser des débats équilibrés idéologiquement. En tout cas ça se lâche, on n'en a pas fini avec le bourrage de crâne.

    RépondreSupprimer
  3. J'ai remarqué qu'Eric Zemmour est sujet à un véritable complot organisés par les cocos marxistes qui trônent à tous les aiguillages de la soociété française. Ainsi à la Fnac et sûrement ailleurs, son dernier bouquin n'apparaît pas sur les rayons mais y laisse un vide et se retrouve sur la pile en bas. Des scélérats participent à un mécanisme de censure qui j'ai constaté à l'identique pour les bouquins pour Marine Le Pen. Ceux contre étant évidemment en bonne position. Donc un petit coup de main au libraire n'est pas de trop pour neutraliser cette canaillerie.

    RépondreSupprimer
  4. Je ne comprend pas une chose, moi qui raisonne en mode binaire. Soit on est démocrate et on accepte ce que le peuple dit, soit on l'est pas et on installe une dictature. Aussi soit on est pour la mise sous tutelle de la Tunisie comme pendant les colonies, soit on les respecte leur souveraineté et on à rien à dire sur ce qui ce passe chez eux.
    Il y a un moment où il faudra bien arrêter la schizophrénie.

    RépondreSupprimer
  5. J’ai étudié l’histoire à l’université, donc je trouve très justes les comparaisons qu’EZ fait entre l’actualité et les faits marquants du passé, comme, par exemple, les règlements de comptes qui se sont produits en URSS et les parallèles qui se dessinent entre ces évènements-là et ce qui se passe aujourd’hui en Tunisie. J’attends les éclairages d’EZ chaque matin et j’aurai du mal à m’en passer à la rentrée si RTL décide de le mettre à la porte.

    relationsfranco-americaines.blogspot.com

    RépondreSupprimer
  6. "Je ne comprend pas une chose, moi qui raisonne en mode binaire."
    La "politique réellee" ne le permet aucunement.

    "Soit on est démocrate et on accepte ce que le peuple dit, soit on l'est pas et on installe une dictature."
    Ne confondez pas dictature, régime politique qu'il faille en cas de troubles graves, et tyrannie.

    Pas la moindre schizophrénie dans cette affaire étant donné que c'est une question de pouvoir géopolitique.

    RépondreSupprimer
  7. C'est tout le débat de l'ingérence ou de la non-ingérence. Un débat qui n'est pas fait.

    Il me semble, pour ma part, que l'ingérence est difficilement justifiable. C'est certain qu'on peut s'indigner ou s'émouvoir de la souffrance d'un autre peuple, mais de là à aller décider pour lui. Il n'y a que BHL pour être certain qu'on peut se mêler de tout. Il est vrai que ça peut être un joli tremplin pour l'ego.

    Je pense aussi que tous les peuples peuvent un jour ou l'autre se retrouver dans une dictature et que ça n'arrive pas un bon matin comme ça. La liberté a besoin de vigilance comme une plante d'eau.

    N'est-on pas "un peu" dans une dictature de pensée
    dans nos sociétés occidentales. Le politiquement correct, la censure qui guette à chaque virage, organisée avec pignon sur rue, la bien-pensance fortement installée dans les médias...y a qu'à continuer.
    Bien sûr, il n'y a pas de morts dans les rues, mais ...
    des menaces de mort, des congédiements, des procès, du harcèlement médiatique et autres...c'est bien le signe que la plante manque d'eau.
    Si on laisse faire, à qui imputer la faute? Et si ça tourne mal pourquoi demander aux autres de s'en mêler?

    RépondreSupprimer
  8. C'est tout le débat de l'ingérence ou de la non-ingérence. Un débat qui n'est pas fait.

    Il me semble, pour ma part, que l'ingérence est difficilement justifiable. C'est certain qu'on peut s'indigner ou s'émouvoir de la souffrance d'un autre peuple, mais de là à aller décider pour lui. Il n'y a que BHL pour être certain qu'on peut se mêler de tout. Il est vrai que ça peut être un joli tremplin pour l'ego.

    Je pense aussi que tous les peuples peuvent un jour ou l'autre se retrouver dans une dictature et que ça n'arrive pas un bon matin comme ça. La liberté a besoin de vigilance comme une plante d'eau.

    N'est-on pas "un peu" dans une dictature de pensée
    dans nos sociétés occidentales. Le politiquement correct, la censure qui guette à chaque virage, organisée avec pignon sur rue, la bien-pensance fortement installée dans les médias...y a qu'à continuer.
    Bien sûr, il n'y a pas de morts dans les rues, mais ...
    des menaces de mort, des congédiements, des procès, du harcèlement médiatique et autres...c'est bien le signe que la plante manque d'eau.
    Si on laisse faire, à qui imputer la faute? Et si ça tourne mal pourquoi demander aux autres de s'en mêler?

    RépondreSupprimer
  9. harry callahan15 juin 2012 à 20:55

    "Ne confondez pas dictature, régime politique qu'il faille en cas de troubles graves, et tyrannie."

    D'ailleurs un article de la constitution donne des pouvoirs de ce genre au president de la republique en cas de trouble ou de danger grave.

    RépondreSupprimer
  10. Ah bon il y a une politique réelle et une autre irréelle ? A part les utopistes qui voit arriver les islamistes comme une avancées pour la démocratie, eux sont dans l’irréelle et moi bien dans la réalité des fait.
    Pour la tyrannie c'est encore une histoire de jugement, car moi je suis incapable de faire la différence entre une manifestation réprimée avec force par le pouvoir en place et une tyrannie. Toutes les dictatures sont des tyrannies c'est un pléonasme ! Quand à dire si c'est ce qu'il faut pour les Tunisiens, personne n'a l'autorité de juger ça à part eux-même. A moins de les mettre sous tutelle bien sûr, mais pour ça il faut être clair avec tout le monde.

    RépondreSupprimer
  11. harry callahan15 juin 2012 à 23:13

    " Toutes les dictatures sont des tyrannies c'est un pléonasme !"

    Ethymologiquement non, Kami a raison.
    La pratique du pouvoir dans certaines circonstances peut amener a ce genre de situation , qui n'a rien de particulièrement agreable, c'est très clair.

    Au moins dans notre pays, ca n'est pas la norme.

    Mais il me semble que Sarkozy avait promulgué un couvre-feu pendant les emeutes de 2005.

    Pour "les droits d'interventions", a cette epoque les chinoix avait fait remarqué aux donneurs de lecons francais sur le Tibet que leurs propres banlieues n'etaient pas non plus sans problemes.

    Et que les prisons francaises laissaient n'etaient pas non plus jugées "exemplaires" par les fameuses ONG donneurses de lecons.

    La morale c'est a double tranchant.
    Surtout en matière de politique internationale.

    RépondreSupprimer
  12. La "politique réelle" prend en considération les rapports de force entre les états. Beaucoup du reste ne sert qu'à distraire les peuples.

    Pas un hasard si les islamistes sont élus démocratiquement, et ce étant donné que c'est pour donner un prétexte aux futurs vols organisés des énergies non renouvelables que possèdent ces pays.

    Il y a pourtant une différence nette entre une dictature et une tyrannie, mais après si vous ne voulez pas en comprendre la nuance...

    Pas moi qui dirait à l'état ou au peuple tunisien comment il doit se comporter...

    RépondreSupprimer
  13. Et pourquoi la france devrait survivre étant donné qu'elle accepte quasiment toutes les brimades?

    Parce qu'elle bénéficie d'une longue histoire?

    La france crèvera définitivement si elle reste à genoux, et ce sous prétexte de ne plus vouloir assumer les conséquences de l'affrontement...

    RépondreSupprimer
  14. harry callahan16 juin 2012 à 00:27

    "Parce qu'elle bénéficie d'une longue histoire?"

    Qui crée une identité extremement forte, oui.

    Malgré tout.

    Pour le reste vous avez raison.

    Mais la France n'est pas la seule en cause.

    RépondreSupprimer
  15. Il n y aura pas de démocratie en Tunisie ni dans aucun pays musulmans tant que les hommes pensent religion.
    Les musulmans n ont qu une idée en tête c est dominer l autre et il n y a que la religion qui leur permet beaucoup n étant pas instruit ni éduqué.
    Ils ne veulent surtout pas que les femmes soient leurs égales. Ce sont des arriérés.
    En Tunisie ce sont les religieux qui freinent la démocratie.

    RépondreSupprimer
  16. @L'Anonyme du 17/6 à 10:21

    L'Islam, en tout cas, a pour seule préoccupation la domination de l'autre. Oui.

    RépondreSupprimer
  17. "En Tunisie ce sont les religieux qui freinent la démocratie."
    Et depuis quand la démocratie est le remède à tout?! Les religieux Tunisiens ne me posent aucun problème tant qu'ils font leurs idioties chez eux.

    RépondreSupprimer

Vous êtes juridiquement responsable du contenu de votre commentaire.

Nous apprécions tous les commentaires et toutes les opinions. Toutefois, le langage "SMS" n'a pas sa place ici. Nous vous remercions de rédiger votre message de façon à ce qu'il soit lisible, argumenté et compréhensible pour tout le monde.
Nous vous demandons également de rester dans le sujet de l'article concerné.

Les attaques personnelles, la diffamation, les propos racistes, le spam, les liens vers d'autres sites ainsi que tout ce qui peut être répréhensible au regard de la législation Française n'ont pas leur place ici. Les commentaires peuvent donc être soumis à validation ou supprimés sans préavis.