Au sommaire :
- F.Hollande ira t-il jusqu'au bout ?
- Valls la confiance ou la fronde.
- Sarkozy : par où t'es rentré ? On t'a pas vu sortir.
- État islamique : la France aux côtés des USA
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samedi 13 septembre 2014
La chronique d'Eric Zemmour du 11 Septembre 2014 sur RTL.
Éric Zemmour : « Non à la VIème République ! »
Politiques, juristes, députés, anciens ministres, professeurs de droit : souvent tous de gauche, ils occupent l'espace médiatique en cette rentrée pour réclamer l'avènement d'une VIème République. Pour Éric Zemmour, ils veulent "nous persuader que la crise politique qui disloque la gauche est en vérité une crise de régime, et que le pouvoir en place n'est pas en cause".
"De Gaulle nous a débarrassé du parlementarisme. Ces gens-là veulent le rétablir", note l'éditorialiste, pour qui "nos prétendus modernes mènent des combats du XIXème siècle". Ces mêmes personnes qui, il y a quelques années, appelaient à la modernisation des institutions, à l'instauration du quinquennat et à un plus grand pouvoir aux juges et aux députés, professent à rebours.
Le peuple se détourne des urnes ou vote Front national ? "Les mêmes s'exclament : 'Vous voyez, le régime n'est plus démocratique !'", ajoute l'éditorialiste. Selon lui, "sans la Vème République, le gouvernement Valls aurait déjà sauté".
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Politiques, juristes, députés, anciens ministres, professeurs de droit : souvent tous de gauche, ils occupent l'espace médiatique en cette rentrée pour réclamer l'avènement d'une VIème République. Pour Éric Zemmour, ils veulent "nous persuader que la crise politique qui disloque la gauche est en vérité une crise de régime, et que le pouvoir en place n'est pas en cause".
"De Gaulle nous a débarrassé du parlementarisme. Ces gens-là veulent le rétablir", note l'éditorialiste, pour qui "nos prétendus modernes mènent des combats du XIXème siècle". Ces mêmes personnes qui, il y a quelques années, appelaient à la modernisation des institutions, à l'instauration du quinquennat et à un plus grand pouvoir aux juges et aux députés, professent à rebours.
Le peuple se détourne des urnes ou vote Front national ? "Les mêmes s'exclament : 'Vous voyez, le régime n'est plus démocratique !'", ajoute l'éditorialiste. Selon lui, "sans la Vème République, le gouvernement Valls aurait déjà sauté".
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mardi 9 septembre 2014
La chronique d'Eric Zemmour du 9 Septembre 2014 sur RTL.
Éric Zemmour : « L’Écosse, ou le triomphe des régions »
À moins de deux semaine du référendum, le "oui" à l'indépendance de l'Écosse passe en tête dans les sondages. Pour Éric Zemmour, une victoire du "oui" signifierait la mort de la Grande-Bretagne. "Même si le 'non' finit par l'emporter sur le fil du rasoir, le Royaume-Uni n'aura plus le même visage", poursuit-il.
Pour retenir l'Écosse sous son giron, Londres lui promet une plus grande autonomie. Or, Édimbourg dispose déjà de son parlement, de son gouvernement et de sa propre fiscalité. Que pourrait-elle donc obtenir de plus ?
Catalogne, Pays basque, Flandres, Italie du Nord : les velléités d'indépendance gagnent plusieurs régions d'Europe. C'est une "révolution profonde et inouïe", pour Éric Zemmour, qui rappelle que dans la mondialisation, "les États providences sont vécus comme des boulets inutiles". Ce qui cartonne, ce sont les petits États dynamiques et cohérents (Suisse, Singapour, Israël).
"Notre époque consacre la gloire des petites nations, alors qu'on nous annonçait depuis longtemps la mort des nations", poursuit-il.
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À moins de deux semaine du référendum, le "oui" à l'indépendance de l'Écosse passe en tête dans les sondages. Pour Éric Zemmour, une victoire du "oui" signifierait la mort de la Grande-Bretagne. "Même si le 'non' finit par l'emporter sur le fil du rasoir, le Royaume-Uni n'aura plus le même visage", poursuit-il.
Pour retenir l'Écosse sous son giron, Londres lui promet une plus grande autonomie. Or, Édimbourg dispose déjà de son parlement, de son gouvernement et de sa propre fiscalité. Que pourrait-elle donc obtenir de plus ?
Catalogne, Pays basque, Flandres, Italie du Nord : les velléités d'indépendance gagnent plusieurs régions d'Europe. C'est une "révolution profonde et inouïe", pour Éric Zemmour, qui rappelle que dans la mondialisation, "les États providences sont vécus comme des boulets inutiles". Ce qui cartonne, ce sont les petits États dynamiques et cohérents (Suisse, Singapour, Israël).
"Notre époque consacre la gloire des petites nations, alors qu'on nous annonçait depuis longtemps la mort des nations", poursuit-il.
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Eric Zemmour dans "Ça se dispute" sur I-Télé le 5 Septembre 2014
Au Sommaire :
Etat islamique: après l'effroi, faut-il intervenir?
Rebsamen: la fin des tabous à gauche?
Najat: qu'est-ce qu'elle a fait au bon Dieu?
La vengeance d'une rousse: le changement, c'est "sans-dents"
Merci à News360x pour la mise en ligne.
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Etat islamique: après l'effroi, faut-il intervenir?
Rebsamen: la fin des tabous à gauche?
Najat: qu'est-ce qu'elle a fait au bon Dieu?
La vengeance d'une rousse: le changement, c'est "sans-dents"
Merci à News360x pour la mise en ligne.
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Eric Zemmour dans Le Figaro.tv : le monde à l’envers de Marine Le Pen
Eric Zemmour dans Le Figaro.tv : le monde à l’envers de Marine Le Pen
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La chronique d'Eric Zemmour du 4 Septembre 2014 sur RTL.
Éric Zemmour : « Rebsamen et Cazeneuve, les faux briseurs de tabous socialistes »
François Rebsamen appelle à un renforcement du contrôle des chômeurs, Bernard Cazeneuve veut juguler l’immigration clandestine en Méditerranée vers l’Union européenne. « Quoi de plus normal dans un pays normal ? Mais pas en France, où les belles âmes montent aussitôt au créneau pour dénoncer la stigmatisation des plus faibles, quand ce n’est pas la guerre aux pauvres », regrette Éric Zemmour.
Pour l’éditorialiste, « la lecture politique de ces coups d’éclat médiatiques est limpide : choquer le bourgeois de gauche pour montrer sa détermination, tout en rendant l’UMP muette ». Reste que les classes modestes ne cessent de gronder contre la fraude aux allocations sociales et l’arrivée jamais ralentie d’étrangers sur notre territoire.
Après avoir échoué à faire changer les choses, Nicolas Sarkozy avait axé sa campagne présidentielle de 2012 autour du thème des frontières contre l’Europe, les juges et les corps intermédiaires, note encore Éric Zemmour. Cela ne l’empêcha pas d’être battu, « l’électorat populaire ne lui ayant pas pardonné son échec ». Pour lui, le sort sera identique pour les « éminences socialistes qui n’iront pas au-delà de leurs audaces sémantiques ».
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François Rebsamen appelle à un renforcement du contrôle des chômeurs, Bernard Cazeneuve veut juguler l’immigration clandestine en Méditerranée vers l’Union européenne. « Quoi de plus normal dans un pays normal ? Mais pas en France, où les belles âmes montent aussitôt au créneau pour dénoncer la stigmatisation des plus faibles, quand ce n’est pas la guerre aux pauvres », regrette Éric Zemmour.
Pour l’éditorialiste, « la lecture politique de ces coups d’éclat médiatiques est limpide : choquer le bourgeois de gauche pour montrer sa détermination, tout en rendant l’UMP muette ». Reste que les classes modestes ne cessent de gronder contre la fraude aux allocations sociales et l’arrivée jamais ralentie d’étrangers sur notre territoire.
Après avoir échoué à faire changer les choses, Nicolas Sarkozy avait axé sa campagne présidentielle de 2012 autour du thème des frontières contre l’Europe, les juges et les corps intermédiaires, note encore Éric Zemmour. Cela ne l’empêcha pas d’être battu, « l’électorat populaire ne lui ayant pas pardonné son échec ». Pour lui, le sort sera identique pour les « éminences socialistes qui n’iront pas au-delà de leurs audaces sémantiques ».
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La chronique d'Eric Zemmour du 2 Septembre 2014 sur RTL.
Éric Zemmour : « Le triomphe des mauvais élèves de l’Histoire européenne »
Pour Éric Zemmour, « la guerre des mémoires et des souvenirs » est engagée. Les récentes commémorations (début de la guerre de 1914-18, débarquement du 6 juin 1944) « ont fait office de devoirs de vacances », explique l’éditorialiste.
Dans l’affaire ukrainienne, « chacun manipule ces événements lointains à son profit dans une bataille confuse de communication », poursuit-il. Poutine compare le siège de Donetsk à celui de Leningrad. Hollande et Merkel se replient derrière l’évocation derrière la Grand Guerre et l’engrenage funeste des alliances. « C’est le triomphe des mauvais élèves », peste Éric Zemmour.
Kiev, berceau millénaire de la Russie
Poutine n’est pas Hitler, l’Europe n’est pas divisée en deux blocs qui pourrait l’embraser. « Il n’y arien de comparable avec la Guerre Froide« , tempère l’éditorialiste. Quitte à se lancer dans des références historiques, autant être dans le vrai. Ainsi, il serait bon de rappeler que Kiev fut le berceau millénaire de la Russie et que l’Ukraine est russe depuis le règne de Catherine II.
« Plutôt que de tordre l’Histoire, on devrait plutôt ouvrir les livres de géographie », conseille Éric Zemmour, selon qui les cartes nous tiendraient un autre discours.
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Pour Éric Zemmour, « la guerre des mémoires et des souvenirs » est engagée. Les récentes commémorations (début de la guerre de 1914-18, débarquement du 6 juin 1944) « ont fait office de devoirs de vacances », explique l’éditorialiste.
Dans l’affaire ukrainienne, « chacun manipule ces événements lointains à son profit dans une bataille confuse de communication », poursuit-il. Poutine compare le siège de Donetsk à celui de Leningrad. Hollande et Merkel se replient derrière l’évocation derrière la Grand Guerre et l’engrenage funeste des alliances. « C’est le triomphe des mauvais élèves », peste Éric Zemmour.
Kiev, berceau millénaire de la Russie
Poutine n’est pas Hitler, l’Europe n’est pas divisée en deux blocs qui pourrait l’embraser. « Il n’y arien de comparable avec la Guerre Froide« , tempère l’éditorialiste. Quitte à se lancer dans des références historiques, autant être dans le vrai. Ainsi, il serait bon de rappeler que Kiev fut le berceau millénaire de la Russie et que l’Ukraine est russe depuis le règne de Catherine II.
« Plutôt que de tordre l’Histoire, on devrait plutôt ouvrir les livres de géographie », conseille Éric Zemmour, selon qui les cartes nous tiendraient un autre discours.
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Eric Zemmour dans "Ça se dispute" sur I-Télé le 29 Août 2014
Désormais présenté par Pascal Praud.
Au Sommaire :
François Hollande dans la tempête
Gouvernement : jour de rentrée, jour de sortie
Emmanuel Macron : un banquier à l’Elysée
35 heures : y a-t-il débat à gauche ?
Manuel Valls : PDG du gouvernement
N. Vallaud-Belkacem: première femme ministre de l’Education
Brésil / Allemagne : Zemmour a manqué son pénalty
Merci à News360x.
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Au Sommaire :
François Hollande dans la tempête
Gouvernement : jour de rentrée, jour de sortie
Emmanuel Macron : un banquier à l’Elysée
35 heures : y a-t-il débat à gauche ?
Manuel Valls : PDG du gouvernement
N. Vallaud-Belkacem: première femme ministre de l’Education
Brésil / Allemagne : Zemmour a manqué son pénalty
Merci à News360x.
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