1/2
2/2
Extrait de l'émission du samedi 3 Octobre 2009.
.
Vous êtes juridiquement responsable du contenu de votre commentaire.
Nous apprécions tous les commentaires et toutes les opinions. Toutefois, le langage "SMS" n'a pas sa place ici. Nous vous remercions de rédiger votre message de façon à ce qu'il soit lisible, argumenté et compréhensible pour tout le monde.
Nous vous demandons également de rester dans le sujet de l'article concerné.
Les attaques personnelles, la diffamation, les propos racistes, le spam, les liens vers d'autres sites ainsi que tout ce qui peut être répréhensible au regard de la législation Française n'ont pas leur place ici. Les commentaires peuvent donc être soumis à validation ou supprimés sans préavis.
Woerth nous joue son sempiternel rôle de bon ministre qui doit faire de la pédagogie (et c'est pas facile ne se lasse t-il de nous dire) pour nous expliquer pourquoi notre génération vit plus mal que la précédente alors que le PIB de la France à quintuplé. Toujours les mêmes discours éculés, la même morgue, je trouve ça lassant et très ennuyeux.
RépondreSupprimerAucun des chroniqueurs ne soulève d'objections intéressantes la discussion s'enlise. Seul Delerm vers la fin parle enfin au nom des "petits" qui soit n'ont pas d'emploi, soit un emploi mal rémunéré, soit deviennent les vaches à lait du système.
Il est temps que cette émission cesse elle était encore un fois ratée hier soir. La dernière saison va être longue ...
Murielle Robin m'a fait mal au coeur car Ruquier est plus attiré par le bon mot qui fait de l'audience que par ses états d'âme. Après ses confidences sur la dernière émission il aurait du bousculer l'ordre de l'émission et fait venir J. Lambert avant de parler de ses spectacles histoire de la laisser se détendre un peu. Au lieu de ça il a trouvé le moyen de la casser sur les bouquins de PPDA ce qu'elle a d'ailleurs mal pris. T'inquiète Murielle, t'auras plus à retourner dans cette émission c'est la dernière saison.
L'émission se termine par une critique navrante de Naulleau sur le bouquin de Delerm...
Et c'est marrant Naulleau ne critique jamais les spectacles mais presque toujours les bouquins.
Bref une soirée mortellement chiante!
Je n'ai pas pu voir l'émission.
RépondreSupprimerEst-il possible de voir la prestation de Murielle Robin et celle de Delerm, svp?
pas d'accord avec sebastien : tout dépend des invités car la semaine dernière c'était surement la plus intéressante que j'ai regardé, tout le monde était en forme niveau argumentation et jusqu'a la fin aucun ennui. Forcément la différence s'est fait sentir avec des invités sirupeux comme PPDA et ses fantasmes, robin et ses angoisses existentiels et un politicien langue de bois.
RépondreSupprimerMais je crois aussi que ce qui était bien la semaine derniere c'est que ruquier se l'est fermé pendant longtemps lors du débat , hier soir il était en forme comme a son habitude et c'était chiant! mais apres c'est le probleme de l'animateur c'est un autre probleme. Quant à Naulleau je l'ai pas trouvé terrible concernant la critique du livre de Delerm, franchement a la fin avec la tape sur l'épaule c'était limite irrepectueux pour le coup.
Je pense que Robin voulait soulever l'etrangete du fait que l'on puisse etre hors la loi et avoir un traitement de faveur. Mais personne n'a semble comprendre sa remarque, surtout parce que Ruquier n'a fait que l'interrompre par ses blagues.
RépondreSupprimerCommentaire général: Merci mille fois à Eric Zemmour d'imposer son anti pensée-unique-politiquement-correcte, émission après émission, avec un courage, une intelligence et une détermination inégalés dans le paf!
RépondreSupprimerJ’aime beaucoup Eric Zemmour et je suis généralement en accord avec ce qu’il dit. Ce journaliste du Figaro, qu’on retrouve aussi sur la chaîne de télé d’information I-télé ou encore chez Laurent Ruquier dans l’émission télévisée On n’est pas couché, sur France 2, se dit réactionnaire. Il affirme effectivement qu’il regrette entre autres les années 60. Il aurait, de plus, souhaité connaître la monarchie française. Il n’y a pas longtemps, face à la première représentante de l’écololibéralisme antinational Cécile Duflot, il a dit que la décroissance ne le gênerait pas dans l’absolu, si elle favorisait le retour à des modes de vie d’antan.
RépondreSupprimerJ’aime beaucoup Eric Zemmour disais-je. Mais, contrairement à lui, je ne me dis pas réactionnaire et je ne suis pas particulièrement pour la décroissance. Car en tant que gaulliste, je veux toujours ce qu’il y a de mieux pour la France, dans le souci de sa grandeur devant épouser les hautes marches du classement des puissances mondiales ! Un jour, peut-être, je deviendrai ce résigné n’ayant plus de complexes avec le progrès tant souhaité, puisqu’il aura été trop souvent substitué au progressisme qui, finalement, se marie si bien avec la logique de la société toujours plus marchande.
Et puis « réactionnaire » a pour racine réaction. Réagir, ou agir après avoir senti une menace, une agression, comme à titre d’exemple souhaiter conserver ses acquis sociaux. Etre réactionnaire, ce serait, dans un sens, être résistant. Si, par ailleurs, être réactionnaire c’est vouloir que tout pédophile – au nom pouvant même commencer par un M ou un P – soit puni par la loi et écarté de la société pour laquelle il incarne un risque, je le suis.
Si être réactionnaire, c’est défendre la souveraineté nationale – parce que la démocratie et la liberté des peuples m’importent – alors je le suis.
Par contre, si être réactionnaire, c’est regretter le temps d’avant en niant les progrès – notamment de la médecine – que le temps passant a apporté, alors je ne le suis pas.
Seulement, un réactionnaire est souvent ce révolutionnaire qui ne descend pas dans les rues manifester, conscient de la dérive guignolesque que prennent certaines initiatives populaires lorsqu’elles sont en réalité représentées par des personnes qui parfois délaissent un peu trop l’intérêt général afin de défendre leurs propres intérêts. « La réforme oui, la chienlit non » disait Charles de Gaulle. Ridicule rassemblement lorsque l’un des tenants de la manif se met à chanter des paroles insultantes au premier degré à l’égard des politiques, car on tombe ainsi dans la part la plus subjective de la requête militante. Le comble c’est quand cet anticapitaliste acharné profite de son micro pour se mettre à faire la promo de son disque de chants réclamant les rouges lendemains avec la fausse solution de la dictature du prolétariat.
Un réactionnaire est celui qui ne suit pas la mode des idées, c’est-à-dire celle qui concentre actuellement les dogmes d’un capitalisme acharné, d’un fédéralisme effréné (avec la culture anti-France qui va avec) et d’un atlantisme à peine dissimulé (continuons à démanteler les services publics, qu’on ressemble encore un peu plus aux Américains !).
Nous savons, pourtant, que la mode est pour rappeler aux idiots que le temps passe… Après, les politiques – qui seront tout sauf des réactionnaires – nous feront croire qu’ils sont des grands démocrates (ouf, il était temps que les Irlandais votent bien donc qu’ils votent oui au référendum européen). Les politiques enfilent des habits de justiciers sur la scène de la politique fiction mais, dans les coulisses, ils s’assurent de bien protéger leurs copains aux actes indécents mais assez anciens, selon eux, pour savoir passer à autre chose. Ils ne leur donneraient tout de même pas leurs mômes à garder ! Comme disait Molière : « L'hypocrisie est un vice à la mode et tous les vices à la mode passent pour vertus. »
RépondreSupprimerEt les citoyens désemparés, car ils n’ont plus de repères politiques et on leur apprend à ne plus en avoir, laissent, jusque là, cette oligarchie jouer avec le pouvoir en tâchant de ne pas le perdre. Pierre Desproges disait : « L'élite de ce pays permet de faire et défaire les modes, suivant la maxime qui proclame : "Je pense, donc tu suis." » Les citoyens sont de moins en moins citoyens… Mais attention qu’ils ne deviennent pas de plus en plus révolutionnaires… Cela dit, les belles âmes de l’oligarchie sauront les faire passer pour des réactionnaire. C’estt la fausse nuance qu’ils essaieront de faire gober à ceux qui ne sont pas encore converti à la révolte populaire. Que le parti politique numéro un soit le peuple lui-même ! Toutefois, je pense que ce sera, à cet instant-là, l’une de leurs dernières armes avant l’écroulement de leur système antisocial, antipopulaire et antidémocratique !
Alors si les bien penseurs de cette oligarchie souhaitent faire de moi et d’autres gens des réactionnaires, alors au final je le serai. Ce qui ne m’empêchera pas de penser que mes idées sont les plus justes. Car l’humanisme et le souci d’une meilleure condition de l’homme sont des variables qui ne seront jamais à zéro, et les postures politiques intégrant celles-ci accéderont toujours aux oreilles des citoyens les plus éclairés !
Cher Monsieur Zemmour,
RépondreSupprimerCe ministre est très sympathique (sa fragilité est touchante), mais j'aimerais l'entendre parler du petit peuple qui souffre, de RSA en chômage, de maladie en malheurs. Il est évident que cette élite ne sait plus depuis longtemps ce qu'endure son peuple, et aucun journal n'en a cure.
Pour bien parler de la dette Monsieur Zemmour, il faudrait parler bientôt, car c'est urgent, de la génération au pouvoir et qui fait porter à celles qui la suivent tout le poids de son égoïsme. Il est bien malaisé de l'évoquer mais c'est pourtant une vérité qu'une forte partie de la génération des "babyboomers" n'a que foutre des esclaves qui turbinent pour lui payer châteaux en Espagne.
Une observatrice
Le bonneteau fiscal continue, la taxe professionnelle disparait....
RépondreSupprimermais elle revienrt sous un autre nom.
Qu'est-ce qu'il est fatigant des fois, ce Ruquier! Alors lui pour couper la parole, il est premier!
RépondreSupprimerD'autre part, ce n'est pas parce que M. Eric Woerth est du gouvernement que c'est forcément un antéchrist. Je le trouve accessible, humain.
Une émission populaire qui ne parle pas que de politique mais où l'on voit des membres du gouvernement et de la majorité(Morano, Boutin, Woerth, Copé)ainsi que des membres de l'opposition (Royal, Fabius), vous croyez que c'est si courant? Profitons-en avant que ça se termine.