Archive INA : Eric Zemmour dans "Tout Le Monde En Parle" le 19 Janvier 2002
Le journaliste Eric ZEMMOUR répond aux questions de Thierry ARDISSON pour une interview "Vérité" sur son nouvel ouvrage "L'homme qui ne s'aimait pas" consacré au Président de la république Jacques CHIRAC.
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dimanche 28 février 2016
jeudi 25 février 2016
Archive INA : Eric Zemmour face à Clémentine Autain en 2006.
Replay de l'émission "Tout le monde en parle" du 18 mars 2006.
Thierry ARDISSON reçoit Eric ZEMMOUR qui venait de publier son livre "Le premier sexe" aux éditions Denoël.
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Thierry ARDISSON reçoit Eric ZEMMOUR qui venait de publier son livre "Le premier sexe" aux éditions Denoël.
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samedi 20 février 2016
Vidéo : "Zemmour & Naulleau" sur Paris Première le 17 Février 2016.
Replay vidéo : Zemmour & Naulleau sur Paris Première le 17 Février 2016.
Réagissez, débattez sur l’émission ainsi qu’aux thèmes abordés via les commentaires.
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Réagissez, débattez sur l’émission ainsi qu’aux thèmes abordés via les commentaires.
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vendredi 19 février 2016
Eric Zemmour sur RTL : "Syrie : En se retirant, Obama rend service au monde"
La chronique du 18 Février 2016 sur RTL.
Face à l'offensive russe en Syrie et la montée des tensions dans la région, beaucoup attendent une intervention américaine et critiquent l'inaction du locataire de la Maison Blanche.
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Face à l'offensive russe en Syrie et la montée des tensions dans la région, beaucoup attendent une intervention américaine et critiquent l'inaction du locataire de la Maison Blanche.
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jeudi 18 février 2016
Eric Zemmour sur RTL : "La primaire des Républicains cannibalise la présidentielle"
La chronique d'Eric Zemmour sur RTL le 16 Février 2016.
Candidature de Jean-François Copé, soutien de Jean-Pierre Raffarin à Alain Juppé, présentation du projet par Nicolas Sarkozy : la campagne pour la primaire de la droite et du centre est lancée.
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Candidature de Jean-François Copé, soutien de Jean-Pierre Raffarin à Alain Juppé, présentation du projet par Nicolas Sarkozy : la campagne pour la primaire de la droite et du centre est lancée.
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lundi 15 février 2016
Zemmour sur RTL : "Nos agriculteurs n'ont même pas l'élégance de mourir en silence"
La chronique d'Eric Zemmour du 11 Février 2016.
La colère des agriculteurs ne faiblit pas, affolant le gouvernement, qui s'efforce de réagir. Pour l'instant en vain.
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La colère des agriculteurs ne faiblit pas, affolant le gouvernement, qui s'efforce de réagir. Pour l'instant en vain.
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Vidéo : Zemmour & Naulleau invités du "Buzz TV" de TV Magazine
Eric Zemmour & Eric Naulleau invités du "Buzz TV" de TV Magazine (Décembre 2015)
Zemmour et Naulleau: "Les invités sont beaucoup plus belliqueux qu'avant".
Les deux polémistes débattront dans Zemmour et Naulleau mercredi soir sur Paris Première. Sur le plateau du Buzz TV, ils reviennent sur leur complicité et leurs invités politiques.
Éric Naulleau: «Quand commence l'émission, je ne sais pas moi-même ce qui va se passer alors que l'intitulé du programme porte mon nom de famille. Il y a un côté très inattendu parce qu'Éric Zemmour et moi ne nous concertons pas au cours la semaine. Cela évite une certaine lassitude dans la mesure où la surprise est systématiquement au rendez-vous.»
Sur les clashs que peut générer l'émission:
Éric Zemmour : «Je n'aime pas le clash, c'est ridicule! Je ne viens jamais avec l'idée de faire un clash. Mon but est de discuter avec quelqu'un et de lui manifester mon désaccord. La semaine dernière, nous avons reçu Daniel Cohn-Bendit. Je lui dis ce que je pense et ce ne sont pas des petites choses! J'ai de gros désaccords avec lui, tout nous sépare et je lui dis crûment! Effectivement, le ton monte mais c'est le fruit de la conversation.»
Sur leur façon d'appréhender l'émission depuis la rentrée:
Éric Zemmour: «J'essaie d'être toujours le même, quelles que soient les circonstances. Ce sont les invités qui ont changé! Ils viennent avec des intentions beaucoup plus belliqueuses qu'auparavant. Dans On n'est pas couché sur France 2, Laurent Ruquier me demandait toujours quand j'allais poser ma question. Au bout de cinq ans, il n'avait toujours pas compris que je n'en posais jamais. Manifestement, les invités ont fini par comprendre!»
Sur Valérie Brochant, la présentatrice de l'émission:
Éric Naulleau: «Pour moi, c'est Jeanne d'Arc! Arbitrer deux affreux jojos comme nous, c'est un sacerdoce... Je la trouve héroïque. Elle résiste et prouve qu'elle est insubmersible. C'était un sacré défi à relever et elle s'en sort vraiment pas mal.»
Sur ce qui les rapproche:
Éric Zemmour: «L'absence de sectarisme est l'un de nos points communs parce que nous discutons avec des gens qui ne sont pas d'accord avec nous. Ensuite, nous avons tous les deux le goût de la disputation et enfin l'amour immodéré de la vraie littérature.»
Éric Naulleau : «Les téléspectateurs ont affaire à deux cas qui vieillissent, mais qui restent au fond d'eux des garnements. Il y a un côté sale gosse! Nous ne sommes pas très doués pour le premier degré... Il y a toujours ce côté deuxième degré que j'apprécie.»
Sur ce qui les sépare:
Éric Zemmour: «Nous sommes souvent en désaccord sur le fond. Mais pas toujours contrairement à ce que les gens croient! Nous pouvons être d'accord... Pour simplifier, on pourrait affirmer qu'il est optimiste et que je suis pessimiste. Il est plus moderne que moi!»
Sur les invités:
Éric Naulleau : «Ils acceptent plus ou moins facilement nos invitations, ça dépend des périodes! Parfois, Éric Zemmour peut faire office de répulsif. De temps en temps, j'appartiens à une mauvaise gauche pour certains sympathisants de ce bord politique. Et puis, tout d'un coup, ça s'ouvre: les invités affluent de droite comme de gauche. Mais nous savons que certains politiques ne viendront jamais.»
Sur les critiques de Laurent Ruquier:
Éric Zemmour : «Apparemment, il ne peut pas se passer de moi... C'est touchant Je prends ça comme une marque de dépendance affective, c'est beau!»
Zemmour et Naulleau: "Les invités sont beaucoup plus belliqueux qu'avant".
Les deux polémistes débattront dans Zemmour et Naulleau mercredi soir sur Paris Première. Sur le plateau du Buzz TV, ils reviennent sur leur complicité et leurs invités politiques.
Éric Naulleau: «Quand commence l'émission, je ne sais pas moi-même ce qui va se passer alors que l'intitulé du programme porte mon nom de famille. Il y a un côté très inattendu parce qu'Éric Zemmour et moi ne nous concertons pas au cours la semaine. Cela évite une certaine lassitude dans la mesure où la surprise est systématiquement au rendez-vous.»
Sur les clashs que peut générer l'émission:
Éric Zemmour : «Je n'aime pas le clash, c'est ridicule! Je ne viens jamais avec l'idée de faire un clash. Mon but est de discuter avec quelqu'un et de lui manifester mon désaccord. La semaine dernière, nous avons reçu Daniel Cohn-Bendit. Je lui dis ce que je pense et ce ne sont pas des petites choses! J'ai de gros désaccords avec lui, tout nous sépare et je lui dis crûment! Effectivement, le ton monte mais c'est le fruit de la conversation.»
Sur leur façon d'appréhender l'émission depuis la rentrée:
Éric Zemmour: «J'essaie d'être toujours le même, quelles que soient les circonstances. Ce sont les invités qui ont changé! Ils viennent avec des intentions beaucoup plus belliqueuses qu'auparavant. Dans On n'est pas couché sur France 2, Laurent Ruquier me demandait toujours quand j'allais poser ma question. Au bout de cinq ans, il n'avait toujours pas compris que je n'en posais jamais. Manifestement, les invités ont fini par comprendre!»
Sur Valérie Brochant, la présentatrice de l'émission:
Éric Naulleau: «Pour moi, c'est Jeanne d'Arc! Arbitrer deux affreux jojos comme nous, c'est un sacerdoce... Je la trouve héroïque. Elle résiste et prouve qu'elle est insubmersible. C'était un sacré défi à relever et elle s'en sort vraiment pas mal.»
Sur ce qui les rapproche:
Éric Zemmour: «L'absence de sectarisme est l'un de nos points communs parce que nous discutons avec des gens qui ne sont pas d'accord avec nous. Ensuite, nous avons tous les deux le goût de la disputation et enfin l'amour immodéré de la vraie littérature.»
Éric Naulleau : «Les téléspectateurs ont affaire à deux cas qui vieillissent, mais qui restent au fond d'eux des garnements. Il y a un côté sale gosse! Nous ne sommes pas très doués pour le premier degré... Il y a toujours ce côté deuxième degré que j'apprécie.»
Sur ce qui les sépare:
Éric Zemmour: «Nous sommes souvent en désaccord sur le fond. Mais pas toujours contrairement à ce que les gens croient! Nous pouvons être d'accord... Pour simplifier, on pourrait affirmer qu'il est optimiste et que je suis pessimiste. Il est plus moderne que moi!»
Sur les invités:
Éric Naulleau : «Ils acceptent plus ou moins facilement nos invitations, ça dépend des périodes! Parfois, Éric Zemmour peut faire office de répulsif. De temps en temps, j'appartiens à une mauvaise gauche pour certains sympathisants de ce bord politique. Et puis, tout d'un coup, ça s'ouvre: les invités affluent de droite comme de gauche. Mais nous savons que certains politiques ne viendront jamais.»
Sur les critiques de Laurent Ruquier:
Éric Zemmour : «Apparemment, il ne peut pas se passer de moi... C'est touchant Je prends ça comme une marque de dépendance affective, c'est beau!»
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Télévision
jeudi 11 février 2016
Vidéo : "Zemmour & Naulleau" sur Paris Première le 10 Février 2016.
Zemmour & Naulleau, émission intégrale du mercredi 10 Février 2016.
Réagissez, débattez sur l’émission ainsi qu’aux thèmes abordés via les commentaires.
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Réagissez, débattez sur l’émission ainsi qu’aux thèmes abordés via les commentaires.
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mardi 9 février 2016
Eric Zemmour sur RTL : "La guerre de Syrie est bel et bien notre guerre d'Espagne"
La chronique d'Eric Zemmour du 9 Février 2016 sur RTL.
L'offensive de l'armée syrienne appuyée par l'aviation russe porte ses fruits. Pour le journaliste, c'est un tournant dans la guerre.
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L'offensive de l'armée syrienne appuyée par l'aviation russe porte ses fruits. Pour le journaliste, c'est un tournant dans la guerre.
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lundi 8 février 2016
Vidéo : "Zemmour & Naulleau" sur Paris Première le 3 Février 2016.
Zemmour & Naulleau, émission intégrale du mercredi 3 Février 2016.
Réagissez, débattez sur l’émission ainsi qu’aux thèmes abordés via les commentaires.
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Réagissez, débattez sur l’émission ainsi qu’aux thèmes abordés via les commentaires.
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Éric Zemmour sur RTL : Union européenne : « David Cameron épluche les oignons, Donald Tusk pleure »
La chronique d'Eric Zemmour du 4 Février 2016 sur RTL.
Un compromis a été trouvé à Bruxelles entre les Anglais et les Européens pour éviter une sortie de l'Angleterre de l'Union européenne. Mais il ne semble satisfaire personne.
« C’est la rencontre du sadique et du masochiste : l’un dit ‘fais-moi mal’, l’autre lui répond ‘pas question’ ! », lâche Éric Zemmour. « Entre Londres et Bruxelles, les deux compères sont de mèche : c’est David Cameron qui épluche les oignons et Donald Tusk qui pleure », poursuit-il. Le journaliste note que « quand le Premier ministre anglais fait semblant de vouloir quitter l’Europe, le président du Conseil européen fait semblant de supporter toutes les offenses pour le retenir ». Il parle d’une « alliance de deux faibles » : d’un côté l’Anglais, « parce que son parti et son peuple veulent quitter l’Union européenne » ; de l’autre Bruxelles, « car la crise grecque et celle des migrants sont en train de saper un édifice européen déjà branlant ».
« Les oligarques européens ont sapé eux-mêmes des principes qu’ils jugeaient éternels », analyse Éric Zemmour, qui ajoute que « ce reniement s’avérera vain si les Anglais partent quand même ». Pour lui, l’Union européenne « ressemble de plus en plus à un grand cadavre à la renverse ». Il conclut : « Comme l’URSS de jadis, cette construction impériale sans empire est en train de se désagréger. Tout acharnement thérapeutique serait contraire à sa mort dans la dignité ».
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Un compromis a été trouvé à Bruxelles entre les Anglais et les Européens pour éviter une sortie de l'Angleterre de l'Union européenne. Mais il ne semble satisfaire personne.
« C’est la rencontre du sadique et du masochiste : l’un dit ‘fais-moi mal’, l’autre lui répond ‘pas question’ ! », lâche Éric Zemmour. « Entre Londres et Bruxelles, les deux compères sont de mèche : c’est David Cameron qui épluche les oignons et Donald Tusk qui pleure », poursuit-il. Le journaliste note que « quand le Premier ministre anglais fait semblant de vouloir quitter l’Europe, le président du Conseil européen fait semblant de supporter toutes les offenses pour le retenir ». Il parle d’une « alliance de deux faibles » : d’un côté l’Anglais, « parce que son parti et son peuple veulent quitter l’Union européenne » ; de l’autre Bruxelles, « car la crise grecque et celle des migrants sont en train de saper un édifice européen déjà branlant ».
« Les oligarques européens ont sapé eux-mêmes des principes qu’ils jugeaient éternels », analyse Éric Zemmour, qui ajoute que « ce reniement s’avérera vain si les Anglais partent quand même ». Pour lui, l’Union européenne « ressemble de plus en plus à un grand cadavre à la renverse ». Il conclut : « Comme l’URSS de jadis, cette construction impériale sans empire est en train de se désagréger. Tout acharnement thérapeutique serait contraire à sa mort dans la dignité ».
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