"Ça se dispute" spécial DSK diffusé le vendredi 20 mai 2011 sur iTélé.
Les conséquences politiques ?
La bataille pour la succession ?
À qui profite son absence ?
.
1ère partie de "Ca se dispute" sur iTele du 21/05/11
DSK : sidération
DSK : politiquement mort ?
2e partie de "Ca se dispute" sur iTele du 21/05/11
DSK libéré, le PS aussi ?
DSK : "tout le monde savait", quoi
.
samedi 21 mai 2011
Eric Zemmour dans "Ça se dispute" sur I-Télé le 20 & 21 Mai 2011 : Spécial DSK
Catégorie(s) :
Télévision
31 commentaires:
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Dommage que Domenach ne soit pas là, et ce pour 2 raisons : 1) j'aurais bien aimé voir sa réaction ; 2) parce que Claude Askolovitch est insupportable.
RépondreSupprimer" c'était un des principes fondamentaux de la doctrine Gradgrind que toute chose devait être payée. Personne ne devait jamais, en aucun cas, rien donner à qui ce fût sans compensation. La gratitude devait être abolie et les bienfaits qui en découlent n'avaient aucune raison d'être. Chaque pouce de l'existence des humains, depuis la naissance jusqu'à la mort, devait être un marché réglé comptant. Et s'il était impossible de gagner le ciel de cette façon, cela signifiait que le ciel n'était pas un lieu régi par l'économie politique et que l'on n'avait rien à y faire."
RépondreSupprimerDickens, Temps Difficiles, 1854.
DSK, incarnait au FMI et comme candidat socialiste pour la présidentielle, l'homme de la mondialisation dominée par l'économie du marché, par ce régime capitalisme que décrit dans un de ses Romans Charles Dickens, Holland et Aubry, "les enfants de Delors et Jospin" incarnent aussi cette vision du monde, tout comme Sarkozy et l'ensemble de l'UMP, tout ceux qui ne prêchent que par la sainteté de l'Europe, il est bon de rappeler ce que c'est la mondialisation, histoire de rappeler à certains que ce n'est pas un rassemblement humaniste.
Zemmour a connu pire : il s'est coltiné Wolton pendant des mois !
RépondreSupprimerMais c'est vrai que Askolovitch est insupportable. Faut se battre pour avoir la parole. Et ce regard qui révolvérise le debater d'en face ! Bbbrrrrr il fait peur.
Perso je ne trouve pas Asko trop insupportable... pour moi il est meilleur intellectuellement que Domenach et il attaque moins primairement et "ad hominem" Zemmour. Bon, après il est un peu soporifique...
RépondreSupprimerJe ne comprends pas beaucoup leurs thèmes. On parle des conséquences mais pas des faits.
RépondreSupprimerEn gros, tout le monde dit que l'arrestation de DSK ruine la gauche, mais personne ne donne son avis sur DSK et ses actes (si avérés). Et ses vieux dossiers ressortent également.
Rien que pour avoir trompé sa femme deux fois, DSK n'a pas la dignité nécessaire pour être président d'un pays, et personne n'a l'air de le dire ou même comprendre.
Askolovitch etait parfois totalement d'accord avec Zemmour...
RépondreSupprimerHa Dominique Wolton et Zemmour, un sommet du genre :
http://www.dailymotion.com/video/xdhf2z_clash-eric-zemmour-dominique-wolton_webcam
Domenach a fait une syncope, ou la pente était trop dure à remonter pour faire la pub de la gauche face à Zemmour? En tout cas Askolovitch fait le boulot en besogneux bien consciencieux. Tout ça n'a plus rien à voir avec du journalisme, c'est vraiment le fan qui faisait déjà campagne pour 2012 et est abattu de voir son champion disqualifié.
RépondreSupprimerJ'ai beaucoup aimé le sous entendu voulant que Zemmour s'amusa des déboires de DSK. Pitoyable, mais oui Askolovitch fonctionne ainsi et Zemmour le dit d'ailleurs, la presse de gauche se serait délectée de voir Sarkozy empêtré dans ce genre de scandale. On a vu les nombreux traquenards tendus à l'exécutif par des médias ayant perdu toute subjectivité. Zemmour, lui, n'est pas un colleur d'affiches.
moi j'aime bien ERIC ZEMMOUR il dit tout haut ce que bien des gens pensent tout bas car maintenant la liberté d'expression n'existe plus, il argumente bien ses idées et quand on réfléchit bien il a entièrement raison .s'il disparaissait , comme il est prévu par l'état , il n'y aurait plus aucunes emissions intéressantes.
RépondreSupprimerAskolovitch est insupportable
RépondreSupprimerquand prendra-t-on en compte ceux qui ne veulent ni droite ni gauche ni vert bien mur :tous ceux qui ne votent plus et ceux qui ne sont meme pas inscrits car ils ont compris que tous ces parasites aux salaires pharamineux suppriment les postes d instits de policiers de chercheurs utiles a la societe
RépondreSupprimerPetite question à Anonyme: Miterrand a trompé sa femme combien de fois ? quel que soit le nombre, on le vénère encore! et les autres.. Giscard, Chirac avez-vous compté?
RépondreSupprimerJ'attendais Zemmour de pied ferme sur la question de l'omerta journalistique à l'égard du comportement de DSK envers les femmes, qu'il n'avait pas abordée cette semaine sur RTL. Eh bien je suis sidéré de le voir rangé aux côtés des "bobos bien-pensants" qu'il se plaît à dénoncer : circulez y'a rien à voir ! Il n'est malheureusement pas toujours épargné par l'esprit de caste...
RépondreSupprimer"Miterrand a trompé sa femme combien de fois ? quel que soit le nombre, on le vénère encore! et les autres.. Giscard, Chirac avez-vous compté?"
RépondreSupprimerComme dirait Zemmour, on s'en moque...
Un viol c'est autre chose par contre.
En réponse à Eric Zemmour qui se demandait quelle aurait été la réaction à gauche si Sarkozy, voire Le Pen avaient été inculpés pour le viol d'une femme noire, le brillant Askolovitch a répondu que les racistes ne couchaient pas avec les femmes noires. Pardi! Les riches propriétaires américains, avant l'abolition de l'esclavage, n'ont jamais violé leurs esclaves!
RépondreSupprimer"la question de l'omerta journalistique à l'égard du comportement de DSK envers les femmes,"
RépondreSupprimerEmigrez aux USA, ou en Angleterre vous serez satisfait. Ces pays puritains font la chasse au sexe en politique.
(Il y a du travail...C'est un peu vain, mais ca correponds a la tradition de ces pays.)
Que DSK etait très "interessé" (Sic) par les femmes etait de notorieté publique.
Que ca aille jusqu'au viol, il faut pouvoir le prouver (Vous aurez entendu les menaces des avocats de DSK quant au traitement de la presse francaise de l'affaire actuelle, donc imaginez...), on va avoir l'occasion de constater que dans un cas hypothetiquement flagrant, c'est deja difficile, alors dans le cas d'allegations sans plaintes officielles...
@Harry : Je ne peux mieux vous répondre qu'en vous conseillant vivement la lecture de cet article.
RépondreSupprimerhttp://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/affaire-dsk-un-11-septembre-94442
Si vous arrivez à me dire qu'il n'était pas possible de faire la moindre investigation sur la base de tous ces témoignages concordants... D'ailleurs, la presse ne s'est pas contentée de passer sous silence, certains journalistes ont tout fait pour enterrer l'affaire Banon par exemple (notamment sous la pression des communicants de DSK).
Si les journalistes devaient se contenter d'attendre les plaintes pour enquêter, ils ne serviraient à rien et seraient au chômage technique !
Un rappel concernant Askolovitch.
RépondreSupprimerEn janvier dernier, il s'en prenait, sur Europe 1, à Chevènement.
Le "crime" de ce dernier ?
Soutenir Éric Zemmour lors du procès qui lui était intenté.
http://www.youtube.com/watch?v=2yAUcKxUHF0
Je n'avais pas compris en suivant l'émission à la télévision la réflexion d'Askolovitch prétendant que les racistes ne couchent pas avec les femmes noires.
Comme le montre Sanzio, cette réflexion est d'une stupidité affligeante sur le plan historique.
À l'époque de l'esclavage dans les colonies d'Amérique, c'était si fréquent qu'une règle avait été établie : on naissait esclave si sa MÉRE (et non son père) était esclave.
Parmi les milliers d'exemples d'enfants dont le père était propriétaire d'esclaves et la mère esclave du père : le général Dumas, général pendant la Révolution et père d'Alexandre Dumas (l'auteur des Trois Mousquetaires).
Askolovitch, comme tous les moralisateurs de gauche, est tellement paniqué par cette affaire DSK qu'il en oublie même toute référence culturelle.
@ Kévin
RépondreSupprimer"Il n'est malheureusement pas toujours épargné par l'esprit de caste..."
Vous avez raison, mais dites-vous que si ce n'était pas le cas il n'aurait pas droit à la moindre petite tribune médiatique. Mieux vaut peu que rien, c'est à prendre ou à laisser, donc prenons, même si c'est peu. Personne n'est vraiment indépendant.
Sur le fond de l'affaire Strauss Kahn : il est probable qu'au fil du temps, à moins d'un coup de théâtre, les positions entre accusation et défense se rééquilibrent (sous l'effet du temps et des enquêtes). Ainsi on en viendra à ce qu'ils appellent "parole contre parole".
Mais à ce moment là, l'affaire étouffée avec Tristane Banon pèsera très lourd contre DSK. En effet, la description de la scène qui a été faite par l'intéressée ressemble à celle de l'affaire de New york. Or cette histoire racontée chez Ardisson est bien antérieure (on ne peut donc pas accuser Tristane Banon de se faire mousser à postériori). Quoi qu'on en dise, ça ressemble bien à une récidive.
On pourra chicaner qu'en droit ce n'est pas recevable, il n'empêche que si j'étais juré, ça pèserait lourd sur mon jugement.
Enfin un petit mot sur le viol. Askolovitch est un ignare (qui s'écoute parler et c'est fatiguant). Le viol n'est pas un acte d'amour, mais de domination. On peut donc parfaitement être raciste et violer une femme noire, c'est même parfaitement logique.
Kévin, je connaissait les "avanies" de DSK...Comme d'autres.
RépondreSupprimerOn ne peut pas avoir de miracle non plus avec une presse en crise et concentrée, ou le journaliste de base lutte souvent pour sa survie.
Après Zemmour n'est pas le pire, je suis d'accord.
Askolovitch, c'est bien le gars qui a dîné avec Tristane Banon et Ardisson le jour où Tristane a fait ses révélations et qui n'en a pipé mot continuant à décrire DSK comme un grand économiste mondial. Comment peut-il avoir encore la moindre crédibilité? Pauvres média français, le New York Times et les journaux américains ont de bonnes raisons de les regarder avec condescendence.
RépondreSupprimerAskolovitch veut nous faire pleurer.
RépondreSupprimerEn particulier lorsqu'il parle des strauss-kahniens. Il plaint ces "malheureux orphelins" (dont il fait partie).
Il cite en particulier Michèle Sabban.
Moi, je regrette, mais cette dame est une personnalité publique.
Qu'elle ait des états d'âme, c'est son problème.
Mais, quand elle parle en public, elle s'adresse à nous les citoyens.
Or, dans une émission de Taddéi, la semaine dernière, elle qualifiait de "drague" des actes rapportées par Daniel Schneidermann. Or, si celui-ci dit vrai concernant DSK, ce qu'il rapporte, ce n'est pas de la "drague", c'est du harcèlement.
Dans cette affaire, la contradiction de Mme Sabban vient du fait qu'elle a été secrétaire nationale aux "droits des femmes".
Autrement dit, elle a usé et abusé du féminisme le plus véhément.
Si les comportements que Schneidermann attribuait à DSK (en France) avaient été commis par Le Pen, ou Sarkozy, ou Gollnisch ou Dupont-Aignan ou Zemmour, ...., Mme Sabban aurait hurlé à l'atteinte à la dignité des femmes.
Et je parie que, dans ce cas, elle aurait eu le soutien inconditionnel d'Askolovitch qui n'aurait pas parlé de "vie privée".
Une grande partie de la gauche (mais aussi de la droite : cf Mme Jouanno défendant les quotas au profit des femmes) se dit "féministe".
RépondreSupprimerCette idéologie censée défendre les intérêts des femmes conduit en réalité à des excès.
Je pense à la parité obligatoire depuis les élections municipales de 2008 dans les villes de plus de 3500 habitants.
Dans les plus petites d'entre elles, cela ne sert qu'à limiter le choix des électeurs (donc la démocratie) car certaines listes ne peuvent pas se constituer en raison de ces conditions.
Pourtant, concernant les droits des femmes, une certaine gauche n'a pas toujours été exemplaire.
Ainsi, la chambre "bleu horizon" à majorité de droite, élue en 1919 donna le droit de vote aux femmes.
Cette loi fut refusée par la majorité radicale du Sénat qui craignait l'influence de l'Église sur le vote féminin.
Il fallut attendre 1945 pour que les femmes aient accès à ce droit. Ainsi, la France était "à la traine" sur ce sujet (la Turquie elle-même avait déjà accordé ce droit).
Autre exemple : l'Espagne de la seconde république (après 1931).
RépondreSupprimerLe droit de vote des femmes fut accordé cette année-là (donc avant la France) par une chambre (Cortes) à majorité de gauche.
Ouf, l'honneur de la gauche était sauf.
Pas si simple si on regarde le détail.
Aux élections de 1931, juste après la chute de la monarchie, les femmes n'ont pas le droit de vote, mais elle peuvent être .... élues !
Deux femmes sont députés.
Dans le débat constitutionnel, l'une d'entre elles (radicale, donc de centre-gauche) propose d'accorder le droit de vote féminin. Sa collègue (de gauche : radicale-socialiste ou gauche républicaine) y est .... hostile !
Finalement, ce droit est accordé. Le vote est individuel et tous les députés d'un même parti ne votent pas obligatoirement de la même façon. Mais, globalement, les résultats sont les suivants.
- POUR le droit de vote des femmes : les socialistes (PSOE) avec des exceptions (dont Prieto), la gauche républicaine de Catalogne, le centre-droit (républicains catholiques comme le premier président de la république Alcala Zamora), la droite (monarchistes et catholiques) affaiblie après la chute de la monarchie. Précisons que le petit PCE (communistes) n'avait pas de député.
- CONTRE : les partis de la gauche républicaine (principale personnalité Azaña, second président de la république), le parti radical (parti de centre-gauche, mais qui s'allierait avec la droite plus tard). Le chef du parti radical s'appelait Lerroux. Il était presque septuagénaire et avait bâti sa carrière politique sur l'anticléricalisme.
Les opposants (dont le socialiste Prieto, l'homme de gauche Azaña et le radical Lerroux) étaient donc hostiles par anticléricalisme, comme en France à la même époque.
Notons qu'à la fin de 1933, le très anticlérical Lerroux devenait chef du gouvernement en s'alliant avec un parti .... clérical, la CEDA (dirigée par Gil Robles).
En 1935, Lerroux était mêlé à 2 scandales financiers successifs.
Le parti radical s'effondrait et la suite des événements allait conduire à la guerre civile.
les gens de droite venerent De Gaulle les gens de gauche venerent M iterrand les gamins venerent Bieber a chacun son idole mais comme disait je ne sais plus qui ils ne peuvent d asseoir que sur leur cul les gens d en bas voudraient bien venerer UN PATRON
RépondreSupprimerIl y en a un qui récite et un qui raisonne. C'est incroyable comment Zemmour sait écouter et prend la parole seulement à son tour. Comment il se laisse couper en pleine démonstration et se laisse entrainer ailleurs que ce qu'il voulait dire. On pourrait penser qu'il se livre ainsi comme un agneau aux chasseurs de dérapages.Il est tout simplement persuadé d'être honnête.
RépondreSupprimerMerci M. Zemmour pour le mal que vous vous donnez.
comme je l avais predit erreur sur la personne ou marchandage sur le prix comme d habitude histoire de cul ou de fric je ne comprends pas pourquoi les avocats font tant d etudes
RépondreSupprimerComme vous l'aviez prédit ? Vous êtes comme tout le monde, vous ignorez ce qui s'est passé dans cette chambre.
RépondreSupprimerRécemment, Jack Lang a dit à propos de l'affaire DSK : "il n'y a pas mort d'homme". Éric Zemmour a mis en exergue la contradiction pour quelqu'un qui se targue de féminisme.
RépondreSupprimerIl est vrai qu'en 2009, le même Lang soutenait Polanski.
Et, en 1977, avec Kouchner et d'autres (la plupart décédés comme Sartre), il avait signé une pétition pour soutenir des pédophiles.
Alors, on dira : Lang approuve les agressions sexuelles réelles ou supposées. Ça dépend.
2001 : Jack Lang est ministre de l'éducation nationale. Battu à Blois aux municipales, il a trouvé une circonscription pour 2002, dans le Pas-de-Calais.
En août, à Bucquoy, dans ce département, Alain Hodique, époux de la directrice de l'école maternelle est arrêté, accusé de pédophilie.
Le ministre Lang "oublie" la présomption d'innocence et envoie aux parents d'élèves une lettre où il dénonce "les actes scandaleux et odieux commis par l'époux de la directrice de l'école".
Alain Hodique a été incarcéré pendant près d'un an. On vient de constater en 2011 que Lang s'est dit "scandalisé" par le fait qu'on aurait sorti sa phrase sur "pas de mort d'homme" de son contexte. Selon lui, il parlait uniquement de la prison préventive pour DSK.
Sauf qu'Hodique est resté près d'un an en prison sans que ça l'émeuve le moins du monde.
Pire, l'épouse d'Hodique est suspendue et ne perçoit que la moitié de son traitement.
Que lui est-il reproché ?
Rien. Seulement d'être l'épouse d'un "pédophile" supposé.
Puis, l'affaire "se dégonfle".
On constate (avec beaucoup de lenteur) que les accusations ne "tenaient pas debout".
Une fille parlait même "d'attouchements" sur un frère qu'elle .... n'avait pas (vraiment inquiétant le fonctionnement de la Justice en France : Justice incapable de constater des évidences aussi simples).
Hodique est libéré au bout d'un an et bénéficie d'un non-lieu 4 ans après (2005).
Il s'adresse à Lang pour lui demander des excuses.
Mais, le dirigeant socialiste a "oublié".
Il finira par s'excuser en ... 2007 !
Et oui, La Fontaine n'avait pas tort : "Selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de LANG vous rendront blanc ou noir".
Puisque Claude Askolovitch était opposé à Zemmour, voici une émission d'octobre 2009 sur Europe 1.
RépondreSupprimerAskolovitch et un autre journaliste (nommé Cohen, je crois) (1) interviewaient Marine Le Pen. On était en pleine affaire Frédéric Mitterrand.
On constatera l'agressivité des deux journalistes. Passons : chez certains, c'est une seconde nature. Admissible dans les débats, c'est intolérable dans une interview où le journaliste devrait être un arbitre.
Mais, puisque dans mon commentaire précédent, j'ai fait allusion à la pétition signée en 1977 par Lang et Kouchner (entre autres) soutenant des pédophiles, j'attire l'attention sur ce qui se passe dans cette vidéo au bout de 5 min 45.
MLP fait allusion à cette pétition et que répond un des journalistes (il ne semble pas que ce soit la voix d'Askolovitch) ?
Il justifie la pétition de 1977, car selon lui, à cette date la majorité était à 21 ans.
Donc, ce journaliste qui forme un duo agressif avec Askolovitch ajoute l'inculture au scandale.
Le scandale consiste pour un journaliste ayant "pignon sur rue" (Europe 1) à justifier une pétition soutenant des pédophiles avérés.
L'inculture consiste) à prétendre qu'en 1977, la majorité était à 21 ans.
Non MM Cohen et Askolovitch. La majorité à 18 ans date de ... 1974 !
(1) Ce n'est pas Philippe Cohen de "Marianne 2" qui lui est un journaliste estimable.
Aïe, je crois que dans le commentaire où je fais allusion à l'émission d'Europe 1 en octobre 2009 (Marine Le Pen, Askolovitch, Cohen), j'ai oublié la référence.
RépondreSupprimerhttp://www.dailymotion.com/video/xaqva9_marine-le-pen-mitterrand-n-a-pas-sa_news
i télé elle-même n'a pas osé mettre l'émission avec Askolovich en ligne sur son site !
RépondreSupprimerEt au fait ceux qui nous disaient que Zemmour était à l'abri des problèmes avec la justice et avec ses employeurs parce-qu'il faisait partie de "ceux" qui étaient "protégés" ils ont donné de leurs nouvelles récemment ?