Eric Zemmour : "La Turquie d'Erdogan sur deux jambes : islamisme, nationalisme"
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mardi 14 juin 2011
4 commentaires:
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Je m'excuse par avance auprès des lecteurs de ce blog pour mon commentaire qui n'a rien à voir avec le sujet (mais ça peut tout de même intéresser des gens de ma région) : Zemmour sera présent au salon du livre de Nice qui a lieu le prochain week-end, ce vendredi 17 juin.
RépondreSupprimerMais qu'ouis-je ? Cher Eric, si vous me lisez (ce dont je doute, hélas) : il y en a qui bossent le vendredi ! Quel dommage, j'aurais enfin pu vous rencontrer et me faire dédicacer vos livres !
Occasion ratée, surtout que je ne peux pas m'absenter, j'ai des élèves qui préparent le bac...
Ne pourriez-vous prolonger votre séjour sur la Côte jusqu'à samedi (il y fait super beau en plus) ?
Le terme "islamiste" employé par Éric Zemmour me dérange : mettre Erdogan, al-Qaida, les Frères Musulmans ou encore le gouvernement iranien dans le même sac, ça pose quand même problème.
RépondreSupprimerla seule difference c est l hypocrisie on cache la haine du chretien et du juif par la laicite pourquoi brule-t-on des eglises? et les premieres victimes sont-elles les chretiens et les juifs?
RépondreSupprimerRécemment, j'ai entendu aux GG de RMC un libéral (Pascal Perry, je crois) rappeler qu'on ne voulait pas de la Turquie dans l'UE et que pourtant, elle se débrouille mieux que la Grèce.
RépondreSupprimerPour un européïste comme Perry, l'argument est dangereux.
Car, finalement, quelle est la différence entre la Grèce et la Turquie ?
- La Grèce a "bénéficié" de l'euro.
- La Turquie non.
Ajoutons autre chose.
Raison de plus pour ne pas faire rentrer la Turquie dans l'Europe telle qu'elle est construite depuis le milieu des années 80.
Car, avec l'Europe supra-nationale de l'Acte Unique, de Maastricht, du traité de Lisbonne, ..., l'entrée de la Turquie provoquerait un déséquilibre total.
- Ce pays serait un des plus peuplés de l'UE (demain, le plus peuplé peut-être).
- Avec une croissance pareille et les bas salaires, ce pays attirerait de nombreux emplois chez lui. Donc, excès de délocalisations.
Même si on s'en tient seulement à cet aspect économique, les partisans de l'entrée de la Turquie dans l'UE ne sont que des irresponsables.